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Aliments et cancer: La Prévention Est Aussi Dans L'assiette

Mémoire : Aliments et cancer: La Prévention Est Aussi Dans L'assiette. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Décembre 2012  •  815 Mots (4 Pages)  •  1 212 Vues

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Présentation :

• Article choisi : Dossier « Aliments et cancer » (article : « la prévention c’est aussi dans l’assiette ») est écrit par Sylvie- Milliot. Ce dossier est tirée du magazine scientifique « Sciences et Avenir » (N°753 BIS – Novembre 2009 ). Il représente les conclusions de la plus grande étude internationale.

Sylvie Riou-Milliot rédactrice, fait référence au premier rapport du Fonds mondial de recherche contre le cancer ( World sarch Fund, WCRF),qui concluait qu’une alimentation saine et équilibrée permettrait d’éviter 100 000 cancers en France et au niveau mondial 3 millions de cas. Elle mêle les différentes positions des recherches scientifiques approuvant cette affirmation. L’étude est alors poursuivit par une vingtaine de scientifiques pour rendre leur étude pertinente.

Après l’affirmation du WCRF ,à Paris le Docteur Elio RIBOL( Epidémiologiste à l’Imperial Collège (Londres ) et coordonnateur d’une vaste étude prospective européenne sur le cancer et la nutrition ),est stupéfait et ajoute même « l’implacable méthodologie et expertise » . Malgré cette implacable expertise, pour les experts de WCRF il aura fallu 5 années de recherches encore plus poussée et que ces travaux soient finement décortiqués .Ainsi, il semblerait que l’influence de certains aliments préviendraient des cancers. Les aliments ne peuvent guérir, cela semble reste illusoire, mais ils peuvent en effet être un terrain de prévention. Ce travail a ensuite aboutit à des recommandations mondiales tels que par exemple éviter les charcuteries, limiter la consommation de viande rouge(pas plus de 500g par semaine) , augmente les apports de légumes… A partir de cela Des docteurs français comme le Dr Paule Latino-Martel , directrice de recherche à l’institut national de la recherche agronomique(INRA) expliquent que les recommandations françaises serai ainsi actualiser pour améliorer les recommandations françaises sur la relation entre cancer et alimentions.

De plus les conclusions rendues en 2003, menée pendant plus de10 ans par l’inserm appelé SUVIMAX a démontré l’importance du rôle des antioxydants dans la prévention des cancers.

Le docteur serge Heceberg (directeur à l’unité U 557 , vice-président du comité stratégique du Programme national santé et coordonnateur de l’étude européenne SUVIMAX ) ajoute a cela que si « si, en mangeant mieux, on pouvait déjà diminuer de 15 % le nombre total des cancers , ce serait énorme. » Aucun médicament n’en est capable. Ainsi selon l’article il faut prendre très tôt de bonnes habitudes alimentaires. Le 100% prévention est une illusion, car pour le cancer comme pour les autres, le risque zéro n’existera jamais. Manger varié ne pourrait alors qu’être bénéfique pour notre santé. Quand te l’on sait que l’alimentation jouerait un vecteur important sur notre santé, il ne faut pas seulement sensibiliser, il faut agir . Surtout quand on sait que les déséquilibres alimentaires et la mal nutrition augmente d’années en années. Selon les résultats de l’étude nationale Inca 2, les 3-15 ans consomment moins de 150g de fruits et de légumes par jour. Au lieu des 400g recommandés à cette année . Mais le Professeur

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