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Dossier hygiene ifsi

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Par   •  18 Avril 2016  •  Dissertation  •  1 200 Mots (5 Pages)  •  6 778 Vues

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I/INTRODUCTION :

Dans le cadre de ma première année en Institut de Formation en Soins Infirmier, j’ai effectué mon premier stage de cinq semaines dans un centre de rééducation situé à Mimet

Ce centre permet une prise en charge des rééducations fonctionnelles, professionnelles et respiratoires

Le service où j’étais en stage est situé au deuxième étage, il dispose de 40 lits d’hospitalisations, de deux bureaux pour les médecins rééducateurs, une salle de repos, deux pièces de réserve pour le matériel et de deux infirmeries car le service est divisé en deux parties : l’aile droite et l’aile gauche

L’aile gauche où je suis reçoit surtout des patients ayant ou ayant eut  des problèmes neurologiques

La situation rencontrée est une injection sous- cutanée d’un anticoagulant, qui a été réalisée le matin après la relève pendant la tournée des médicaments, par l’infirmier du service sur Madame E

II/ SITUATION RENCONTRÉE : injection sous cutanée

Mme E a 86 ans, elle est entrée au centre de rééducation Paul Cézanne au mois d’août suite a une fracture. Mme E est dépendante pour tous les actes de la vie quotidienne (toilette, déplacements, alimentation et hydratation).Elle ne communique plus avec la parole et peu se montrer très agitée et agressive. Mme E est  atteinte de la maladie d’Alzheimer à un stade de démence avancée. Il lui a été prescrit le port de bas de contention et des injections sous cutanée de Calciparine 5000UI/0.2ml Héparine non fractionnée matin et soir en prévention du risque thromboembolique du fait que Mme E est alitée.

Pour la réalisation de cet acte nous avons tout d’abord prévenu la patiente du soin qui allez suivre , puis nous avons préparé le matériel nécessaire sur un plateau préalablement désinfecté , nous nous sommes lavés les mains puis rendus dans la chambre de la patiente , allumez la présence .

Nous avons commencé par installer la patiente confortablement, puis l’infirmier a procédé au soin, il s’est fait un traitement hygiénique des mains par frictions (THF) avec une solution hydro-alcoolique,  désinfecté la zone externe du bras  puis l’infirmier a procédé a l’injection en faisant un pli avec la peau et en piquant avec un angle de 45°

La patiente était très agitée, alors pendant que l’infirmier faisait l’injection j’ai pris sa main  et je lui ai parlé pour essayer de la rassurer et de la calmer.

L’infirmier a terminé le soin, il a relâché la peau puis retirer l’aiguille et la remis dans son emballage et la  posé sur le plateau, il  s’est fait un THF puis nous avons éteint la présence et nous nous sommes rendus dans la salle de soin où l’infirmier a jeté la seringue et l’aiguille dans un container à déchets contaminés piquants (DASRI) , jeté les compresses usagées , puis désinfecté le plateau , pour finir il a réalisé un lavage simple des mains.

III/ ANALYSE DE LA SITUATION :

Suite a la réalisation de cet acte, je me suis posée beaucoup de questions car à l’IFSI l’enseignement est différent, en effet nous avons appris a toujours mettre des gants non stériles à usage unique lors d’injection.

  • L’infirmier du service a t’il eu la même formation que moi ?
  • Y a-t’il des problèmes économiques dans le service qui ne permettent pas de porter des gants à usage unique pour chaque injection ?
  • Les gants sont ils de bonne qualité ?
  • Est – ce  que les gants sont disponibles dans la taille de l’infirmier ?
  • Manque de temps ? car il faut faire un THF avant de mettre les gants et attendre que cela sèche puis en refaire un après le soin
  • L’infirmier n’a peut être pas l’habitude de piquer avec des gants ?

J’ai pu en discuter avec l’infirmier et lui exposer toutes mes interrogations. En effet il a appris a piquer sans gants car les précautions standard date du 20 avril 1998 , et il  n’a donc pas l’habitude de les utiliser pour les injections , de plus pour lui les gants « le gènent » car il trouve qu’on a pas la même sensibilité avec ou sans les gants.

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