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La formation continue au Québec

Analyse sectorielle : La formation continue au Québec. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Juin 2014  •  Analyse sectorielle  •  1 602 Mots (7 Pages)  •  1 694 Vues

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ECO-3004

Formation et compétitivité économique

Travail noté 2

Version 3

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Table des matières

La formation continue au Québec 3

Introduction 3

Premier temps, premier mouvement. 4

Premier temps, deuxième mouvement. 5

Deuxième temps, troisième mouvement. 6

Conclusion 7

Bibliographie 9

La formation continue au Québec

Introduction

La formation au Québec se décline en trois temps. Elle est d’abord générale, suivies par les particuliers dans des établissements d’enseignement. Elle est poursuivie ensuite par une partie des étudiants pour acquérir une spécialisation et idéalement de meilleurs emplois et de meilleures conditions de travail. La formation sera ensuite poursuivie par les travailleurs une fois leur entrée faite sur le marché du travail. C’est la formation en entreprise. Au Québec, cette formation diffère d’une entreprise à l’autre et d’un travailleur à l’autre. Mais quelles sont les conditions de ces variations? Quel constat peut-on faire à propos de la formation en entreprise au Québec. Seuls, les systèmes de formation continue ont atteint leurs limites, ses besoins de restructuration sont à l’origine de l’initiative des pouvoirs publics qui ont légiféré. La formation continue s’impose comme un enjeu majeur dans le contexte actuel de mondialisation des marchés où l’on assiste à une montée fulgurante du bloc de l’Asie du Sud-est. Les pays industrialisés doivent poursuivre la formation pour assurer la compétitivité et la pérennité des entreprises actives et la stabilité du marché du travail. Au Canada et plus spécifique ment au Québec le développement de la formation continue a été fait en deux temps et trois mouvements (Tremblay et all. 2010). Dans un premier temps, le premier mouvement représente les mesures incitatives comme la création des comités sectoriels. Le deuxième mouvement de ce premier temps représente les mesures coercitives comme la mise en vigueur de la loi 90, aussi appelée la Loi du 1%. Le deuxième temps qui comprend le troisième mouvement est représenté par la mise en actions de politiques précises mises sur pied par la classe politique sur la formation continue sur le marché du travail.

Premier temps, premier mouvement.

Les avantages de participer à la formation continue sont nombreux. D’abord, pour les entreprises, la formation augmente la compétitivité, l’efficacité des travailleurs tout en augmentant leur sentiment d’appartenance à l’entreprise qui améliorer son image d’employeur. Quand à l’employé, il tirera avantage de la formation continue en lui permettant de développer ses compétences personnelles, de favoriser son développement de carrière en le rendant plus mobile. De plus la formation continue favorise un climat de travail positif. «La formation continue présente souvent un double objectif : d’une part, assurer l’efficacité économique de l’entreprise en adaptant les compétences et les qualifications des salariés aux évolutions techniques et organisationnelles; d’autre part, favoriser la promotion sociale et professionnelle et promouvoir l’éducation permanente de ces mêmes salariés»

Dans un premier temps, les différents paliers gouvernementaux voulant améliorer la situation du marché du travail, ont mis sur pied différentes mesures incitatives à la formation continue. Ils ont donc procédé à l’arrimage entre l’éducation et l’économie par la création des comités sectoriels de main-d’œuvre. Ces comités avaient pour but des réunir à une même table les différents acteurs d’un secteur d’activité en vue de faire correspondre la formation aux besoins des employeurs. «Les comités sectoriels de main-d’œuvre (CSMO) sont des organismes autonomes formellement reconnus par la Commission des partenaires du marché du travail en vertu de la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre. Leur rôle est de définir les besoins en développement de la main-d’œuvre de leur secteur d’activité économique et de soutenir le développement des compétences de celle-ci.» Il existe des comités sectoriels canadiens et des comités sectoriels québécois. Les seconds faisant échos aux premiers, sur une scène réduite.

De plus, le gouvernement du Québec a mis sur pied plusieurs instances, dont les Centre locaux d’emploi pour regrouper les services offerts aux travailleurs en recherche d’emploi en un même endroit et facilité les services à la population.

Premier temps, deuxième mouvement.

Pour

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