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Qu'est-ce que le management?

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Par   •  25 Décembre 2012  •  1 300 Mots (6 Pages)  •  1 229 Vues

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Introduction

Quand on parle de « management », on pense généralement à la gestion des entreprises, aux stratégies industrielles, aux bilans, … à des travaux de spécialistes. On oublie alors que dès que plusieurs personnes œuvrent ensemble pour un objectif commun, leur réussite commune est due à un management efficace.

Ce management là, chaque manager doit être capable de l'effectuer avec succès car c'est, et ce sera de plus en plus une grande part de son travail. Le manager possède plusieurs rôles et doit assumer un certain nombre de tâches afin que le management soit efficace.

L’objet de ce rapport n’est pas de présenter les différentes tâches, missions et compétences du manager mais de voir les diverses tactiques qui s’offrent à lui pour mener bien sa stratégie. Ces tactiques peuvent être regroupées en ce qu’on appelle les formes ou styles de management.

I. QU’EST CE QUE S’EST QUE LE MANAGEMENT ?

Avant de donner une définition au concept de management, il est nécessaire de faire un rappel des différentes écoles de management et des conceptions de l’efficacité sur lesquelles il repose.

Au cours des décennies précédentes, l’accent a été mis successivement sur les aspects organisationnels et sur les aspects relationnels du management.

L’originalité de ces dernières années est de situer le management face à la finalité économique de l’entreprise: quelles sont les conditions de sa survie et de son développement? En quoi les actions et les comportements des responsables et de l’ensemble du personnel peuvent-ils y contribuer?

Le management n’est pas un ensemble de recettes pour faire communiquer les hommes dans l’entreprise, organiser leur travail et obtenir leur efficacité. En effet, nous cherchons à développer non pas des automatismes mais une capacité d’adaptation face à la diversité des situations et à leur évolution.

Certes, le management est un état d’esprit: ouverture, écoute, dialogue, mais aussi volonté et ténacité dans la recherche de l’efficacité collective. Ne nous berçons pas d’illusions, quelles que soient les différences entre les écoles de management, leur but reste identique et unique: l’efficacité.

Elles assoient simplement leur logique sur des conceptions différentes de la théorie motivationnelle.

II. ALORS QUELLE SONT LES DIFFERENTES ECOLES DE MANAGEMENT ?

Dans ce cadre on va citer les trois approches qui ont marqué ce siècle, commençant par la pensée taylorienne, l’école des relations humaines et l’approche du management participatif.

1. La pensée taylorienne

Repose fondamentalement sur une vision motivationnelle brutale: l’homme est rétif au travail, « il n’aime pas ça ». Il est obligé de travailler pour gagner sa vie et satisfaire ainsi ses besoins de survie et de sécurité. Il recherche, avant tout, un maximum de rétribution pour un minimum de contribution.

Cette conception conduit logiquement à l’Organisation Scientifique du Travail. Quels que soient ses états d’âme, l’homme doit être pris dans un système, dans une mécanique où il n’a pas le choix. Il devra effectuer sa tâche à l’intérieur d’une cadence. Cette tâche sera d’ailleurs le plus souvent une opération, un geste parcellaire concourant à réaliser un produit quelconque.

La rationalité organisationnelle contourne le manque d’appétit au travail, met un terme aux aspirations intimes de la personne. Si des tensions sociales émergent elles seront régulées par un supplément de rétribution; l’apaisement s’en suivra.

Cette pensé taylorienne vise la production et l’organisation scientifique de travail, sans prendre en considération le volé humain au sein de l’organisation, c’est le travail comme source de gains de vie, la seul motivation c’est le matérielle.

2. L’école des relations humaines,

Cette école reposent, sur les expériences menées par Kurt Lewin dans l’immédiat après-guerre aux États-Unis, se fonde, elle, sur une autre approche motivationnelle.

La personne recherche, certes, un maximum de rétribution par rapport à son travail, mais aussi, un cadre de vie satisfaisant.

L’instinct grégaire prime ; l’homme a besoin de faire partie d’un groupe, d’un clan où il a sa place et où il est reconnu .

La communication, l’échange, les stimulations positives, la reconnaissance de ses efforts, la valorisation de ses capacités est autant de besoins fondamentaux que toute personne ne doit trouver dans son travail. Si elle les obtient, elle

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