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La diversité des gens à La Défense

Étude de cas : La diversité des gens à La Défense. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Décembre 2014  •  Étude de cas  •  1 632 Mots (7 Pages)  •  685 Vues

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Le Parvis de La Défense

Étude comportementale

Pour cette étude comportementale, nous avons décidé d’observer la diversité des gens à La Défense.

La Défense est le premier quartier d’affaires européen par l’étendue de son parc de bureau, mais on y vient aussi pour son immense centre commercial, et certains pour le complexe étudiants Léonard De Vinci.

En plus de tout cela, La Défense est également une grande gare routière et ferroviaire.

On y croise donc une population très diversifiée, par leurs attitudes, leurs motivations, leurs appartenances, leurs cultures etc…

Nous sommes allez observer la population de La Défense à différent moment de la journée en semaine, pendant le week-end, et à l’occasion du marché de Noël. Nous y avons relevé les habitudes et les réflexes de chacun, leurs réactions lorsque leurs habitudes sont perturbées.

Pour rendre l’étude plus claire, nous avons classés les différents profils dans trois catégories : le pressé, le zonard, le touriste. Evidemment, ce ne sont que des intitulés de catégories, nous ne nous sommes permis aucun jugement de valeurs. Ainsi, le pressé n’est que l’humain qui ne prend pas le temps, le zonard est l’humain qui vient à la défense dans le but de « trainer », et le touriste est l’humain qui vient à la défense dans un but commercial.

Sommaire

1. En semaine……………… 4

1.1. À 8h du matin

1.2. À 12h

1.3. À 18h

1.4. À 20h

1.5. À 22h

2. Le week-end……………. 6

2.1. À 10h

2.2. À 13h

2.3. À 20h

3. Le marché de Noël…… 7

4. Conclusion…………….… 8

En semaine

En semaine, la défense est un centre d’affaires très prisé et surtout très peuplé. On y croise donc beaucoup d’hommes d’affaires, pressés et un peu boudeurs comme le veut la « norme parisienne » à toutes heures de la journée. On y croise également beaucoup d’étudiants, bruyants, « stylés », arborant les dernières « sneakers » ou les derniers sacs à la mode.

À 8 heures du matin, un jeudi, nous nous sommes placés au milieu du parvis de la défense, près de la sortie des bus et du métro. Nous avons pu voir la défense se remplir en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Et en une heure, cela ne s’est pas calmé : un peu courbés, le regard vide, une expression figée, les gens se dirigent vers leurs lieux de travail. Ils ne font pas attention à ce qui les entoure, mis à part lorsque cela bouscule les tire de leurs torpeurs. Nous avons arrêté deux personnes pour leurs poser des questions, nous ne cherchions pas de réponses en particulier, nous voulions juste voir leurs réactions : un homme en costume, qui sortait du métro, nous a poliment repoussé, indiquant qu’il n’avait pas le temps de répondre à ce que nous avions fait passer pour un sondage. Notre deuxième cible, un étudiant, ne s’est même pas arrêter. Un regard agressif et un geste de la main pour nous écarter ont été la seule attention qu’il nous a accordée.

À 12h, on peut, encore une fois, voir le parvis se remplir. Néanmoins, c’est d’une façon différente que les choses se font. En effet, les gens semblent nettement plus motivés à l’idée d’aller déjeuner plutôt qu’à l’idée d’aller travailler. Les gens restent donc pressés mais leurs démarche change : le dos droit, souriant, curieux de savoir où est-ce qu’ils vont manger, on peut presque croire qu’ils prennent le temps. Cependant la pause déjeuner est limitée, il faut donc se dépêcher et la sensation de vitesse qui englobe la défense est toujours là.

À 18h, les premiers quittent le travail. Le salarié semble perdre toute humanité. Il sait juste qu’il sera chez lui plus rapidement s’il se dépêche. Et cela se voit : les épaules hautes, préparées aux éventuels chocs, le regard fixer devant, les grands pas rapides et les mouvements du corps pour se faufiler entre les autres témoignent du peu de considération que le salarié accordera aux évènements qui se trouveront entre lui et sa destination.

À 20h le scénario est presque similaire. On note tout de même que les gens paraissent moins agressifs, ce qui est probablement dû au fait que la foule est moins dense. Nous nous sommes permis d’interrompre une jeune femme (environ 30 ans) pour lui poser quelques questions, encore une fois dans le but de voir sa réaction et non dans l’attente de réponses. Elle a répondu à nos questions (questions improvisées sur le moment, nous ne nous attendions pas à ce qu’elle s’arrête) après s’être quand même assurée que cela ne lui prendrait pas plus de 5 minutes.

C’est à 22h que le scénario se modifie. Plus de foule, de personnages énervés et agressifs. C’est une toute autre scène qui se déroule sous nos yeux. Les derniers travailleurs rentrent

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