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La Politique

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Par   •  8 Janvier 2014  •  1 725 Mots (7 Pages)  •  1 128 Vues

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Thème 3 : La Politique

Info générale, definition : « Plois (grec) : cité> in ensemble = personnes / indépendance

Chapitre 5 : La justice et le droit.

Q: existe-t-il des lois injustes ?

Lorsque la peine de mort a été abolie par la législation française en 1981, cela montrerai qu'elle fut alors considérer comme injuste. Dès lors ce demander se demander s'il existe des lois injuste c'est se demander si la justice est toujours incarner par les lois ou encore si les lois sont nécessairement juste c'est à dire légitime. Le droit naturel, universelle, est inscrit dans la nature de l'homme, ou bien s'il peut y avoir une scission entre droit positif, c'est à dire les lois établies par un Etat, et le droit naturel. SI c'est le cas, alors il faut parler de loi injuste. Cependant, les lois sont des règles générales qui définissent les droits. Les lois définisse les droits et les devoir des sujets qui y sont soumis. Elle semble a priori définir le juste et l'injuste et parler de loi injuste paraît alors incohérente : la est bien le paradoxe du sujet. Notre problème dès lors est de savoir : à quelle condition peut on parler de loi juste et de loi injuste ? Quels sont les critères retenus ? La justice peut elle avoir un valeur universelle ? Et même si une loi est jugée par un grand nombre comme juste (légitime) ne risque-t-elle pas dans son application de devenir parfois ?

Tout d'abord nous verrons que la justice peut être définie par la loi, puis les limites du positivisme juridique, pour finalement nous interroger sur les conditions de la justice.

I. La justice est définie par les lois

a) Les faits imposent l'établissement du droit.

Les lois sont des faits établies conventionnellement en vue de régulé la coexistence pacifique des individus. Elles ont pour fin le bien de la communauté. En effet si l'on met en place des lois c'est parce que concrètement les Hommes ne peuvent spontanément s'entendre. Tel est définie par Kant « l'insociable sociabilité ». Cet oxymore exprime la dualité inhérente a tout rapport humain : Bien que les hommes ai du mal à vivre ensemble, ils ont cependant besoin les uns des autres. Cela est décrit par le texte 1.L'auteur utilise d »eux verbes pour caractériser cette ambivalence : s'associer/se détacher. Le comportement de chacun étant aussi pour les autres et pas seulement égocentré. Dans le second paragraphe, l'auteur montre les conséquences de cet antagonisme à l'échelle de toute l'humanité : moteur d'évolution qui pousse l'homme à s’humaniser. L'auteur dit en effet : « L'homme a alors parcouru les premiers pas qui de la grossièreté le mène à la culture […] cette évolution vers la clarté le poursuivant […] transformer la grossière disposition naturel au discernement moral  (capacité à distinguer le bien du mal, le beau du laid) ». Ainsi, la thèse de Kant est de dire que la moralité (notion de justice) surgit des difficultés naturelles rencontrées par les Hommes au cours du temps. Il se réfère implicitement au rôle des lois dans une société humaine.

Le droit, l'ensemble des lois qui prescrivent des droits, des interdictions et des devoirs vient alors rectifier le fait, en vu d'un coexistence plus pacifique des individus. Dès lors les lois permettent l'endiguement de la justice, si bien qu'il apparaît impossible de penser qu'il existe des lois injustes dans la mesure ou ce sont justement les lois qui définissent ce qui est juste

b) Le positivisme politique

L'étimologie nous enseigne l'intimité qui uni les notions de justice et de lois : judicare= jussdicere c'est à dire « dire le droit ». Or le droit est l'ensemble de lois conventionnellement établies. Le juste se définie alors comme ce qui est conforme aux lois. Tel est la thèse du positivisme juridique : Ils serait vain de chercher ailleurs que dans la légalité l'idée de justice, celle ci variant indefiniement en raison de la diversité des circonstances ( sensibilité d'une époque, appartenance relogieuse...). Ainsi, une décision juste est celle qui applique lews lois en vigueur et la justice se définie alors par le respect de la légalité. Nous pouvons donc apprécier ce mot de JS Mill : «  on ne peut douter je crois que l'idée mère, l'élément primitif dans la formation de la notion de justice, c'est était la conformité

à la loi. Non seulement la justice ne peut etre séparé d'une loi existante mais encore la représntationque nous nous faisons de ce qui est juste provient d'une pratique antérieure de la la loi ancienne . C'est l'habitude d'obéir a certaine lois qui fonderait alors l'idée de juste et d'injuste.

c) la justice est garantie par la lois

Cette conception de la justice à pour intérêt de soustraire l'idée de justice à des polémiques interminable. Elle prémuni ainsi chaque citoyen contre l'arbitraire du juge, celui ci doit se borner a appliquer la règle édicter par le législateur. La thèse d'Alain consiste à dire que la justice réside dans le respect de la loi et de son application sans arbitraire ni déformation. Cela suppose que chaque partie renonce à se défendre lui même et accepte par conséquent que le jugement procède d'un tiers (le juge). Remarquons que cela exclus tout recours à la vengeance d'où l'inférence à la notion de « paix » . Il n'existerait donc pas dans cette perspective,

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