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Synthèse Prépa concours

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Par   •  22 Mars 2020  •  Cours  •  831 Mots (4 Pages)  •  476 Vues

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Introduction 

La mise en place d’une société de consommation a été une opportunité saisie gracieusement par les industrielles de l’agroalimentaire. Ce mode de consommation traduit l’expansion du style de vie à l’occidental synonyme d’abondance alimentaire.
Toutefois, pourquoi ce style consommation perd de superbe auprès des consommateurs finaux et des gouvernements des pays développés ? Cette perte de popularité va de pair avec une prise de conscience du consommateur, qui se solde par des nouveaux critères d’achat plus éthiques.

Problématique : La transition agroalimentaire, un bien nécessaire ?

I. Faits : Un mode de consommation nocif pour l’homme et son environnement.  

  1. Une forme de production trop « gourmande » en ressources.

L’objectif des prochaines années ne va pas être de produire plus, mais produire mieux. On observe la naissance d’alternatives propre pouvant faire face au défi de l’augmentation démographique mondiale. L’agroécologie prend de plus en plus de place au sein

  1. Une augmentation alarmante de consommation de viande.

Les pays émergent opèrent un mimétisme du mode de consommation des occidentaux. La viande est un problème de grande ampleur, car on préfère l’importer prix moins cher que faire marcher le commerce interne. Le continent africain en subie les frais. Les industriels exploitent les agriculteurs et les fournisseurs de viandes en les leur achetant à un prix minimal. Et même pour les Etats, protéger les petits producteurs de l’importation massive est un défi compliqué.

  1. Un mode de consommation qui favorise la pauvreté.

La production agroalimentaire actuelle favorise la famine, deux tiers des victimes sont des travailleurs paysans dans les pays d’Afrique. Faire en sorte que l'agroécologie devienne proéminente est un levier pour lutter contre la pauvreté, car ces méthodes permettent aux petits éleveurs de prolonger leur génération à des coûts faibles pour approvisionner les marchés voisins

II. Causes : Une multiplication des mesures de développement et de sensibilisations malgré des freins importants.

  1. Des mesures prises pour que le BIO s’étende.

Le gouvernement multiplie les mesures pour transformer la surface agricole au bio, mais il s’agit d’un objectif inatteignable à cause d’un manque de fonds. Cependant, la conversion au bio est progressive, mais rien ne garantit pas que les agriculteurs ne reviendront pas aux pesticides chimiques. Le bio est compliqué à mettre en place donc des soutiens monétaires sont déployés, mais des décisions d’instances supérieurs ralentissent la conversion. Changer n’est pas simple pour les agriculteurs, car les subventions n’assurent pas toujours une pérennité à long terme.

  1. Un climat de défiance marqué.

L’éthique personnelle est désormais un critère de choix majeur chez le client. Un climat de défiance se fait ressentir tandis que de nouvelles attentes prennent place chez le consommateur. On constate que la confiance aux industriels s’amenuit de plus en plus. On observe un attrait nouveau des petits commerces locaux plutôt que les gros industriels. Le consommateur effectue une prise de conscience environnementale. Des modes de consommations voient le jour comme les : « éco-végétarien ». Le consommateur se responsabilise, il souhaite offrir à son corps les meilleurs aliments tout en s’assurant de leurs impacts environnementaux.

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