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O vôo Da Gaivota

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Par   •  13 Mars 2013  •  3 595 Mots (15 Pages)  •  851 Vues

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O vôo da gaivota

Ce roman est une psychographie écrite par Vera Lucia de Carvalho, une tante de Patricia. Ce roman met en évidence les tristes conséquences dont le corps et l’esprit doivent faire face lorsque les êtres se retrouvent dans le milieu des drogues, u suicide ou encore de la douleur. Ces tristes histoires peuvent nous servir de leçon, par ailleurs, dans ce roman nous pouvons rendre compte de l’importance de l’amour, élément essentiel qui permet de vaincre tous les obstacles.

Afin de mieux comprendre le roman et pouvoir en tirer les meilleures conclusions des expériences de Patricia, je ferai un résumé de chaque chapitre.

Introduction

Patricia commence avec un souvenir lorsqu’elle était incarnée, rappelant son admiration pour les mouettes. Les mouettes sont bien évidemment une métaphore de l’être humain, en effet l’être humain ainsi que la mouette ne peuvent se résoudre à ne pas revenir se poser sur la terre, alors qu’ils savent pertinemment la forte possibilité de trouver un ennemi. De ce fait, pour être heureux, il faut faire preuve de prudence. Par ailleurs, lorsque nous venons sur terre, quoique nous fassions, soit le bien soit le mal, nous laissons toujours des traces et ce comme la mouette qui laisse ses empreintes sur le sable.

En assumant une tâche

Dans ce chapitre, Patricia compare d’abord la vie à une rivière, en effet l’eau de la rivière n’est jamais inactive et se renouvèle sans cesse, ainsi comme la vie. Toutefois, si nous n’acceptons pas ce phénomène nous pouvons rester sur le rivage, en abandonnant tous ceux qui sont prêts à suivre ce beau voyage vers l’infini.

Dans le plan spirituel, Patricia a eu une proposition, pour qu’elle donne des cours dans le Cours de Reconnaissance du Plan Spirituel, une proposition qui l’a faite hésiter avant d’accepter, puisqu’elle jugeait ne pas avoir les compétences requises pour ce poste. Seulement cette décision ne nécessitait aucun motif de doute, puisque dans la vie lorsque quelque chose d’important nous est demandée cela signifie que quelqu’un a jugeait que nous avions les capacités suffisantes pour le faire, on ne doit donc pas hésiter et avoir confiance en soi.

De plus, dans le plan spirituel, lorsque toute personne a appris et étudié, il y a bien un moment où il faudra passer du côte du professeur, afin de faire bénéficier aux autres de nôtre savoir. De fait, il ne faut pas stagner, mais toujours chercher l’évolution, à chacun son rythme. Il s’avère important et essentiel de chercher l’évolution car notre objectif ne consiste pas à avoir toujours les mêmes connaissances sans se cultiver davantage. Enfin, une fois un certain niveau de savoir atteint, il est donc nécessaire de le partager afin d’aider les autres, tout en continuant à apprendre puisque le savoir complet est inconnaissable.

Écouter une histoire

Dans ce chapitre on se retrouve tout d’abord dans une salle de cours animé par Patricia, où il y a eu lieu la lecture de dissertations, grâce aux quelles ils se rendent compte qu’ils n’ont pas tous le même ressenti du plan spirituel. En effet, selon les personnes, il y a plusieurs façons de voir, sentir et avoir des sensations différentes devant le même objet ou dans le même lieu. Afin d’illustrer cet aspect, Patricia raconte l’histoire d’une fleur qui a poussé au bord d’une route, et elle décrit le comportement de plusieurs personnes devant la même situation. Avec cet exemple Patricia montre que selon l’état d’esprit, l’intérêt et la compréhension, il y a plusieurs manières de voir les choses. Patricia nous fait bien comprendre que le beau ou le « moche » qu’on perçoit est seulement une conséquence de notre choix personnel, en effet le beau et le moche sont deux notions distinctes mais qui ne sont pas concrètes, ni réellement définies. Nous pouvons alors voir les choses comme elles sont et non comme on voudrait qu’elles soient.

Dans la Colonie, les personnes avaient chacun leur perception de l’endroit qui accueillait des désincarnés, ce qui est semblable à l’exemple de la fleur. La colonie n’est donc pas vue par tous de la même manière, chacun la voit comme il y arrive ou comme il veut.

Nous pouvons maintenant voir la rédaction de Genoveva:

On ne peut faire de notre existence un cumul de sensations et de plaisirs comme si c’était la raison pour laquelle nous réincarnons. Genoveva était une femme qui n’aimait que les belles choses et ne pensait qu’à elle et avec la descrption de cette femme, nous pouvons apercevoir une omniprésence en tout et chez tout le monde, de fait, pour la nature il n’y a pas de beau ni de moche. Pour la nature, il s’agit d’un ensemble d’individus qui constituent l’univers, et le moche et le beau ne font partie que de la préférence personnelle. Si l’on arrive accepter que cela soit un fait, alors nous réussirons à nous libérer des désirs et de l’envie d’être supérieur aux autres, c’est ici le début de la vraie humilité.

Patricia continue à expliquer que chacun a une sensation différente lorsqu’il désincarne. Pendant sa vie physique, Genoveva n’avait pas construit d’attachements spirituels, une fois désincarnée elle n’a pas bénéficié de l’aide des travailleurs, ce sont des désincarnés qui erraient qui l’ont prise en charge. C’est alors que Genoveva a décidé de prendre en compte les prières de sa voisine, qui consistaient à demander pardon et de l’aide, et une fois qu’elle s’est mis à faire ces prières, elle a eu l’aide et le confort don elle avait besoin. Dans son nouveau rythme de vie, elle s’est montré utile et agréable, elle a également commencé à lire, c’est à partir de ça qu’elle a commencé à voir ce qu’elle ne voyait pas, et entendre ce qu’elle n’entendait pas.

Il faut alors comprendre qu’il est essentiel de vivre en faisant le bien , car c’est au moment actuel que nous construisons notre futur. Et comme nous le savons, la désincarnation peut surgir à n’importe quel moment, alors pour ne pas qu’elle ne nous surprenne pas, nous devons vivre heureux et dans le bien.

Un entretien intéressant

Dans sa leçon pour comprendre ce qui est beau et ce qui est m »moche », Patricia explique l’importance des colonies, ce sont des endroits qu’il faut respecter et aimer, et lorsqu’on apprend à vivre avec Dieu, n’importe quel endroit devient merveilleux. Par ailleurs, les colonies, évoluent de petit à petit avec le travail de ses occupants,

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