Kant

En second lieu, il est important de déterminer l’implication de l’état dans l’avortement. Comme l’état est un regroupement politique souverain qui exerce son pouvoir sur un territoire déterminé avec des institutions politiques et reconnue comme tel. Les libéraux ont comme façon de penser que l’individu doit avoir le plus de liberté possible ce qui les places du côté des pros choix. Cependant, Kant ne partage pas le même point de vu. Pour lui les responsables du gouvernement se doivent de remplir les obligations qu’ils ont envers le peuple. C’est en ce basant sur ce principe qu’ils établissent des lois. En d’autres mots, ils établissent des obligations objectives qui deviennent des devoirs universalisables. C’est cette universalisation qui fait que l’avortement ne peut être permis par l’état, selon Kant. Car, l’étique de l’homme aux lointaines origines Prusse mets l’emphase sur la reproductibilité d’un comportement à travers la population. Bien que l’avortement puisse être profitable à certaine personne, les conséquences de l’application de cette philosophie pour l’ensemble du peuple ne peuvent que conduire à des résultats plus que dévastateurs pour le genre humain. Imaginons que toutes les femmes décident de ne pas garder leurs enfants, d’ici 100 ans la terre serrait complètement guérir de cette maladie qu’est l’homme. Comme l’état est au service du publique, il ce doit de faire respecter des lois morales pures. De ce fait nous pouvons affirmer que Kant serait en désaccord avec les lois qui régissent actuellement le Canada en ce qui concerne l’avortement.

Pour conclure, il est important de souligné que les individus ainsi que l’état ont des responsabilités envers les futur être humain qui sont confortablement installé dans des placentas. Lorsque nous parlons d’individus c’est aussi bien les hommes que les femmes qui doivent respecter leurs progénitures. Afin d’être en accord avec la nature, de suivre leur raison et non leurs sentiments. Ce qui est important pour l’universalisation des doctrines spécifiques à chaque sociétés. Bien que Kant a déclaré : « N'accomplis d'action que d'après une maxime telle qu'elle puisse comporter en outre d'être une loi universelle, telle donc seulement que la volonté puisse se considérer elle-même comme constituant en même temps par sa maxime une législation universelle. » (p.159). Il ne faut toutefois pas oublier que notre cher philosophe allemand qui a étudié Leibniz et Newton, qui avait un horaire et une alimentation très stricte aimais beaucoup la choucroute. Il y a, par contre, plus important que ces faits divers sa vie. Nous devons nous rappeler que Kant a les mains pures, mais que Kant n’a pas de mains.

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