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Les Assurances Sécuriplus cas

Étude de cas : Les Assurances Sécuriplus cas. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Avril 2016  •  Étude de cas  •  659 Mots (3 Pages)  •  658 Vues

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Question 1 :

La division du travail vient de la logique de production Tayloriste qui dicte la nécessitée de décomposer le travail en différente partie et donc de diviser le travail pour plus de productivité. Adam Smith ajoute que la division et la spécialisation du travail permet d’augmenter la production et de réduire les coûts et le temps. Charles Babbage va plus loin en confiant à des personnes différentes, rémunéré différemment, selon le travail qui alors réduit la valeur économique.

Les Assurances Sécuriplus sont divisées en 3 divisions qui chacune d’entre elles sont gérer de façon indépendante. Chaque division a un service de réclamation qui est subdivisé en différentes tâches; 3« les réclamations soumises au service des réclamations suivaient un cheminement séquentiel spécifique qui commençait au service du courrier de la division médicale » Ainsi chaque commis et préposés à l’administration effectue des tâches spécifiques. Le travail et ses étapes sont même très spécifiquement défini tel que l’exemple du commis suivante : « Le commis plaçait le formulaire du bénéficiare sur un lutrin et récupérait son dossier informatisé à l’écran. »

Les grands principes de l’organisation scientifique du travail sont l’analyse et la décomposition des tâches (illustrées plus haut chez Sécuriplus), la formation, le suivi et le contrôle et la division entre la direction et l’exécution.

Sécuriplus a clairement identifié qu’elle avait appliquée le principe de formation , suivi et contrôle. M. Blanchette nous a expliqué 3 « Nous avons investi des milliers de dollars en formation internet et j’ai envoyé tous les commis aux réclamations suivre des cours de saisie et traitement de données à l’extérieur… ». Pour faire le suivi et le contrôle, Sécuriplus a fait la vérification de réclamations au hasard afin de quantifier les causes et types d’erreurs. 3 « Ces vérifications avaient été effectuées par une équipe indépendante spécialement formée à cette fin ».

La division entre la direction et l’éxécution est très évidente chez Sécuriplus, surtout de la part de M. Blanchette, directeur du service des réclamations/médicaments.               M. Blanchette nous a déclaré : 3 « je fais mon travail de gestionnaire, il est à peu près temps qu’ils fassent leur travail de commis ». Ainsi que 3 « J’ai dit à Le Scelleur que quand je voudrais l’entendre japper je tirerais sur sa chaine mais qu’entre temps, je voulais le voir devant son écran et qu’il avait intérêt à faire du travail qui lui vaudrait le respect de la direction ».Cette dernière déclaration nous démontre bien la démarcation nette entre les prérogatives des gestionnaires et les obligations des travailleurs qui est une contribution principale du modèle scientifique.

Cette même déclaration nous démontre dans le même temps un des points faible du modèle scientifique qui est la perception des travailleurs en tant qu’automates.             M. Blanchette n’accorde aucune importance aux points de vue de ses commis, les perçoit comme des automates et ne prend pas en compte les besoins sociaux des personnes (autre point faible du modèle scientifique). Lorsque Marie-Line explique à   M. Blanchette qu’elle ne comprends toujours pas le système, même après la formation reçu, la réponse de celui-ci vient appuyer le point plus haut 3 « …Marie-Line en question a trois ans d’expérience et elle prétend toujours qu’elle ne peut pas comprendre le système. Je lui ai dit de se mette à l’ouvrage et de s’arranger pour comprendre faute de quoi elle devra se  chercher du travail ailleurs ».

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