Fiche de lecture freakonomics

                                Fiche de lecture : Freakonomics

Freakonomics, est le livre d’économie le plus lu aux Etats-Unis. Il est écrit en collaboration par le journaliste  Stephen J. Dubner et l’économiste Steven Levitt.
Steven Levitt, né Steven David Levitt le 29 mai 1967 à La Nouvelle-Orléans, est un économiste américain, professeur à l'Université de Chicago. Il utilise les méthodes de la microéconomie pour investir des champs d'études originaux : le comportement des agents immobiliers, l'économie de la drogue, les liens entre baisse de la criminalité et avortement ou la prostitution. Justement, le livre Freakonomics paru en 2005 aborde  ces sujets.
Stephen J. Dubner est un journaliste américain, né le 26 août 1963 connu pour avoir écrit plusieurs livres avec son compatriote Steven Levitt d’où ce livre « Freakonomics ».
Le titre FREAKONOMICS est un mot anglais qui se traduit en français par « économie saugrenue ».

Chapitre 1 : Tricher n’est pas jouer.
Dans le premier chapitre, les auteurs font des expériences dans des endroits comme des garderies d’enfants où les parents arrivant en retard paieront une amende ; ceci n’a fait aggraver la situation et augmenter ces retards. Aussi, ils ont remarqué que les étudiants dans les écoles qui proposent des examens standardisés, ont plus tendance à tricher.

             Chapitre 2 : Le problème de l’asymétrie de l’information.
                    Levitt a commencé son chapitre par l’histoire du Ku Klux Klan (l’organisation terroriste) que   Brown et S. Kennedy voulait combattre et du coup décidaient de dévoiler tous ses codes secrets dans une émission pour enfants diffusée à la radio,  enlevant ainsi toute la force KKK qui était les relations secrète.
                      Cette introduction a permis à l’auteur d’introduire le sujet de son chapitre : l’asymétrie de l’information. Il s’appuie sur plusieurs exemples comme l’agent immobilier qui peut tout faire pour accélérer la vente d’un immobilier, vu que la perte de valeur ne diminuera en aucun cas sa prime en cas de vente. Levitt a même donné un sondage pour confirmer sa théorie : le sondage montre que les maisons possédées par des agents immobiliers se vendent  3% plus cher que les autres et les termes utilisés dans leurs descriptifs sont différents des autres.
                    Il a encore mentionné les sites de rencontre enligne où, selon lui, les annonces n’ayant pas de photos ont beaucoup moins de réponses que les autres. Levitt a ajouté en montrant que les critères de séduction ne sont pas les mêmes pour les hommes et les femmes.
                  Ensuite, Levitt cite le problème de la discrimination et encore une fois donne l’exemple d’un jeu télévisé connu en France sous le nom de « maillon faible », où les participants doivent s’exclure mutuellement au cours de la partie. Levitt remarque que les plus discriminés ne sont pas les noirs ni les femmes (vu que ca serait flagrant) mais plutôt les hispaniques (ils ne paraissent pas intellectuels) et vieux (par pure discrimination).

           Chapitre 3 : Pourquoi les dealers vivent-ils encore chez leur maman ?

Dans ce chapitre, Levitt reprend l’enquête de terrain  faite par un sociologue, Venkatesh, sur une bande de noirs qui vendent de la drogue. Venkatesh nous permet de comprendre comment cette bande est constituée, ce que Levitt nomma une entreprise capitaliste.
Le chercheur va plus loin dans sa recherche à l’aide de quelques livres de comptes du leader de la bande. Il a remarqué que le leader est le seul à avoir un bon style de vie et de l’argent, mais un simple dealer ne profite pas de tout ça, ce qui explique le faite qu’ils habitent toujours chez leur maman. Mais ils gardent quand même espoir et essayent de se distinguer pour monter en hiérarchie. 

          Chapitre 4 : Où sont passés les criminels ?

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