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Étude d'un extrait issu de l'article Le goût a son histoire de J.L. Flandrin

Résumé : Étude d'un extrait issu de l'article Le goût a son histoire de J.L. Flandrin. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Janvier 2021  •  Résumé  •  765 Mots (4 Pages)  •  362 Vues

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Document 1 : Le goût a son histoire – J.L. Flandrin

La source du document que nous étudierons est un extrait écrit par Jean Louis Flandrinen en 1993, l’extrait s’intitule « Le goût a son histoire », nous pouvons trouver cet extrait sur le site internet « lemangeur-ocha.com »

Jean Louis Flandrin nous exprime sa pensée concernant l’évolution du goût dans le temps, en fonction des pays, de la culture.

Le gout est un facteur plus que subjectif car en effet il dépend des préférences de chacun, des cultures de chacun, ainsi que de l’époque de chacun. Pour nous appuyer ce fait Jean Louis Flandrin nous parle de l’époque moyenâgeuse ou les princes mangeaient des cygnes et considéraient la viande de bœufs comme de la viande grossière, pour le peuple contrairement à actuellement ou les bœufs sont de la viande de qualité comme le bœuf de Kobe. L’origine du goût reste vague malgré le fait que sa principale fonction est de distinguer le bon du mauvais en effet le goût était une nécessité, un besoin pour l’homme pour lequel sa survie dépendait en partie du goût. Les anciens traités culinaires parlent avant tout d’un savoir collectif, et s’intéressent principalement à ce que les riches mangeaient du a une incertitude maintenue sur ce que mangeaient les pauvres, choisissaient ’-ils par goût ou par insuffisance financière

Avec le développement de la route des épices la France s’ouvre sur un nouveau monde de gouts, de saveurs, de culture. Ce nouveau monde est rempli de nouvelles épices, d’aliments etc. Nous pouvons observer dans les anciens traités culinaires, des recettes de toutes époque et nous apprenons également que les recettes françaises sont celle contenant le moins de sucre mais également les plus acidulé. En France, pendant un long moment le sucré salé n’était pas même envisageable, c’était dans notre culture, cependant avec l’ouverture de la route des épices ce changement, cette ouverture d’esprit a lieu en laissant place a de nouveau mélange comme le chévre-miel ou autres Les aristocrates ont abordé les épices de façons éphémères contrairement a la cannelle, le poivre, la noix de muscade. Désormais l’apport énergétique est plus important que les saveurs qui ont connu une gloire passée, le beurre est utilisé dans le nord de la France et a étais longuement oublié contrairement a l’huile qui elle a toujours été utilisait. Au XVIIème siècle la distinction sociale était nettement supérieure a aujourd’hui, il fallait absolument montrer ses biens, se distinguer par ses pratiques alimentaires et ses goûts.

Nous nous demanderons donc si l’impact de l’évolution du goût dans notre société est-elle réellement forte ?

Document 2 : Jean Louis Flandrin par C Fischler : La commensalité et les mouvements du désir.

• Commensalité ; Personne qui mange habituellement à la même table qu’une autre, compagnon de table, hôte ; etc (larousse.fr)

• Ritual ; ritual est un mot anglais, traduit par rituel. Un rituel est une habitude. Un rite est une pratique sociale de caractère sacré ou symbolique. (Larousse.fr)

• Ménagier de Paris ; c’est un livre manuscrit d’économie domestique et culinaire rédigé au XIVème siecle par un bourgeois parisien. À l’intention de son épouse pour lui apprendre comment tenir sa maison et faire la cuisine.

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