Yvain Ou Le Chevalier Au Lion

Comment Lucky est considéré comme un animal, une personne qui ne vaut rien par Pozzo.

Tout d’abord, la comparaison « en réalité il porte comme un porc. » fait un parallèle entre une bête et la caractéristique de faiblesse de Lucky lorsqu’il transporte les valises de Pozzo parce que ce dernier est souvent fatigué. Effet, à partir de ce moment, on peut remarquer que ce dernier (Pozzo) le considère comme animal qui est sale et dégoûtant. Ce procédé de Pozzo d'apercevoir les choses nous fait penser à la manière dont les Nazis, apercevez les juifs.

De plus, l’emploi de la figure de substitution nous montre de quelle façon Lucky ne valait rien Pozzo parce qu’il considère qu’il existe plusieurs individus à tout faire, c'est-à-dire qu’il y a extrêmement les hommes qui vont subir une domination de la part d’une personne supérieure à eux. Cette métonymie « … » attire l’attention sur le fait que Pozzo ne manquera jamais des esclaves puis qu’il est supérieur aux autres. Parallèlement, les Allemands apercevez le juif de la même façon parce qu’ils étaient des dominants.

De surcroît, L’antanaclase « mais… chasser… » souligne l’opposition entre l'idée de prendre un être tel que Lucky et l’option de mettre dehors de chez lui ce dernier (Lucky) à cause que c’est dur de supporter de tels êtres tellement qu’ils sont inutiles. Ces individus à tout faire sont si futiles que, au lieu de le prendre chez lui, il préfère se débarrasser. Lors de la Deuxième Guerre mondiale, les nazis pensaient aussi que les juifs étaient inutiles à la société. Ainsi, la manière de pensée de ces derniers a amené l’extermination de juif.

Enfin, l’antilogie « Pour bien faire, il faudra les tuer » met en relief la contradiction des propos de Pozzo qui est, pour bien agir, il faut tuer toutes les personnes qui sont différentes de nous. Pour lui, tuer les marginaux est la solution parce que ces derniers ne servent à rien. Cette maniéré de pensée corresponde exactement à celle de nazis dont les Camps de concentrations et d’extermination étaient les solutions finales pour éliminer le moins que rien (les juifs) dans la société allemande.

En deuxième lieu, entre la ligne -- -et -- —, on remarque la peine de Lucky qui est insignifiante pour Pozzo. D’abord, l’hyperbole « chiens… » exagère le fait que les anciens cabots ont plus des valeurs que Lucky parce que, pour lui, ce dernier n'est rien puisqu’il est pire qu’un ancien animal de compagnie. Ce genre de comportement est la principale cause de la seconde guerre mondiale puis que le régime fasciste d’Hitler considérait qu’il avait une supériorité de race. De ce fait, pour Pozzo, le fait que Lucky pleure ne vaut rien à cause que ce dernier est inférieur à un chien tout ridé.

En plus, la conjugaison des verbes d’impératif, tels « consolez-le » (l..), Prenez » (l…), « Essuyez-lui » (l’….) et « Dépêchez-vous » (l…), exprime le rapport de dominant dominé que Pozzo a établi avec les autres personnages. En effet, on remarque que Pozzo aime être supérieur aux autres et aussi que les sentiments des personnes qu’il considère inférieures lui importent peu. Dans ce but, puisque ce dernier se sent transcendant à Lucky, la souffrance de Lucky ne veut rien dire. Ce rapport

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