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Sous L'orage

Analyse sectorielle : Sous L'orage. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Avril 2015  •  Analyse sectorielle  •  4 179 Mots (17 Pages)  •  455 Vues

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MEMBRES DU GROUPES :

SOSSOU Brenda

FOLLY John

ZODZI Mario

AGLEVON K. Antoine

AGNIDE Samir

KUNKE

Plan détaillé de l’expose :

INTRODUCTION

I-Qu’est-ce que le Carême ?

II-Un temps de conversion

III-Le Mercredi des cendres, premier jour du Carême

IV-Le jeûne… pour donner soif et faim de Dieu et de sa parole

1)-Jeûner pour assurer son salut

2)-Le poisson, nourriture d’ d'abstinence

3)-De longues périodes de

privations

4)-Le combat de Carême et de Charnage

V- Tourner le carême

VI- Le Carême est-il le Ramadan des chrétiens?

VII- Quelques précision sur le carême

CONCLUSION

INTRODUCTION

Dans la vie de tous chrétiens l’un des moments les plus importants est le temps de carême. Le non carême provient de la contraction du mot latin quadragesima, qui signifie « quarantième ».De son origine le carême est la période d’abstinence et de jeune de quarante jours qui précède la pâque. Elle est instituer par et pour les chrétiens au IV éme Siècle.

I-Qu’est-ce que le Carême ?

Le Carême est le temps de préparation à la fête de Pâques, cœur de la foi chrétienne, qui célèbre la résurrection du Christ.

Le Carême commence le mercredi des cendres – mercredi 18 février 2015 – et s’achève dimanche 5 avril 2015.

La Semaine sainte – dernière semaine de Carême – qui commence avec le dimanche des Rameaux, commémore la Cène, la Passion et la mort du Christ sur la Croix. Le Samedi saint au soir et le dimanche de Pâques, les chrétiens célèbrent la résurrection du Christ.

II-Un temps de conversion

La durée du Carême – quarante jours sans compter les dimanches – fait en particulier référence aux quarante années passées au désert par le peuple d’Israël entre sa sortie d’Égypte et son entrée en terre promise ; elle renvoie aussi aux quarante jours passés par le Christ au désert (Matthieu 4, 1-11) entre son baptême et le début de sa vie publique. Ce chiffre de quarante symbolise les temps de préparation à de nouveaux commencements.

Le Carême, temps de conversion, repose sur la prière, la pénitence et le partage. La pénitence n’est pas une fin en soi, mais la recherche d’une plus grande disponibilité intérieure. Le partage peut prendre différentes formes, notamment celle du don.

III-Le Mercredi des cendres, premier jour du Carême

Le Mercredi des cendres, premier jour du Carême, est marqué par l’imposition des cendres : le prêtre dépose un peu de cendres sur le front de chaque fidèle, en signe de la fragilité de l’homme, mais aussi de l’espérance en la miséricorde de Dieu.

Tout en le marquant, le prêtre dit au fidèle : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle ». L’évangile de ce jour est un passage de saint Matthieu – chapitre 6, versets 1 à 6 et 16 à 18 – qui incite les fidèles à prier et agir, non pas de manière orgueilleuse et ostentatoire, mais dans le secret de leur cœur :

« Quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que te donne ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père voit ce que tu fais en secret (…)

Quand tu pries, retire-toi au fond de ta maison, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret (…) Quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement du Père qui est présent dans le secret ».

IV-Le jeûne… pour donner soif et faim de Dieu et de sa parole

Le jeûne a pour but de donner soif et faim de Dieu et de sa parole. Il n’est pas seulement un geste de pénitence, mais aussi un geste de solidarité avec les pauvres et une invitation au partage et à l’aumône.

« L’abstinence de viande ou d’une autre nourriture, selon les dispositions de la conférence des Evêques, sera observée chaque Vendredi de l’année, à moins qu’il ne tombe l’un des jours marqués comme solennité ; mais l’abstinence et le jeûne seront observés le Mercredi des Cendres et le vendredi de la Passion et de la Mort et de notre Seigneur Jésus Christ. » Can.1251, code de droit canonique.

1)-Jeûner pour assurer son salut

Le jeûne est fort ancien dans le christianisme : Jésus lui-même, selon les Évangiles, ne l'a-t-il pas pratiqué pendant 40 jours et 40 nuits au désert ? Il s'agit d'un acte de pénitence, que l'Église peut d'ailleurs imposer aux fidèles qui ont commis de graves péchés. Il est obligatoire lors des périodes de préparation aux grandes solennités religieuses, où l'on doit vivre à la fois sobrement et chastement, ces deux formes d'abstinence étant étroitement associées dans l'esprit des théologiens. Mais jeûner totalement pendant plusieurs semaines n'est pas possible. C'est pourquoi l'on autorise un repas qui doit être unique et se prendre au coucher du soleil. Durant le Moyen Âge, l'heure de ce repas théoriquement unique se déplace progressivement vers le milieu de la journée. Dans les monastères, on prend l'habitude d'interrompre des après-midi restés bien longs par une légère collation, appelée ainsi d'après le texte pieux qu'on y lit à cette occasion (les Collationes de Jean Cassien).

2)-Le poisson, nourriture d’ d'abstinence

Le jeûne consiste surtout à se priver de certains aliments, essentiellement la viande et les graisses animales, ainsi que, selon les époques ou les lieux, les laitages ou les œufs : les jours où ces restrictions s'appliquent peuvent être donc qualifiés

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