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"[Qui] n’a jamais aimé la vitesse, n’a jamais aimé la vie". Partagez-vous ce jugement?

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Par   •  19 Janvier 2021  •  Compte rendu  •  485 Mots (2 Pages)  •  1 048 Vues

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"[Qui] n’a jamais aimé la vitesse, n’a jamais aimé la vie". Partagez-vous ce jugement?

Aimé la vie et vivre intensément chaque instant est quelque chose propre à chacun et reflète sa façon de voir la vie. Certaines personnes vont prendre des risques sans réfléchir aux conséquences et vont oser "vivre" à fond leurs vies. D’autres, vont être plus dans la réserve et prendront moins de risques. Ils vont, dans ce cas là, préférer le confort d’une vie stable. "Vivre sa vie" est donc propre à chacun. Dans son livre "La Vitesse", Françoise Sagan nous fait l’éloge de la vitesse. Elle adore vivre dans l’excès et rouler vite. Pour elle, c’est comme ça qu’elle profite de la vie.

I- Pour moi, la vitesse nous fait nous sentir vivant et nous fait aimer la vie. On peut se retrouver soi-même.

La vitesse que l’on peut éprouver seule, au volant de sa voiture est un plaisir solitaire. Le fait de se retrouver seul dans l’habitacle est rassurant car c’est à nous, c’est notre espace. On est comme à l’abri du monde extérieur et on peut mettre nos problèmes de vie de côté le temps d’un trajet à toute allure. Le sentiment de vitesse nous fait redevenir "le solitaire [que nous sommes] de naissance" (l.34). Dans les films Fast and Furious quand les protagonistes rencontrent des problèmes. Ils réfléchissent à vive allure.

II- La vitesse peut nous procurer un sentiment de liberté et donc de vie.

L’auteur parle de la vitesse dans l’automobile mais à mon sens l’automobile n’est pas le seul domaine où la vitesse peut avoir un côté libérateur. Il y a aussi les manèges à sensations fortes nous délivrant pendant un court instant de nos tracas et de notre quotidien. La vitesse de ces attractions est euphorique et sur un instant court et intense est libérateur. La vitesse est telle que pendant les quelques secondes ou minutes on ne peut penser qu’aux sensations fortes et à la vive allure provoquée par la machine.

III- Le danger nous donne de l’adrénaline et nous fait nous sentir vivant.

Avec la vitesse il y a aussi le danger qui s’accroît. En voiture, plus on va vite et plus le véhicule peut devenir incontrôlable et dangereux pour nous et les autres. Quand on a envie de rouler vite, généralement on fait abstraction des autres et du danger. Le goût du risque et de l’adrénaline ressenti est plus fort. L’adrénaline nous fait nous sentir vivant. Dans le film Speed de Jan de Bont, un bus roule très vite et ne peut être ralenti. Il représente un danger pour les passagers et les personnes autour.

Moi, j’aime la vitesse aussi car c’est vrai, on se sent plus en vie et plus libre. On peut se retrouver et appuyer plus ou moins fort sur l’accélérateur. C’est nous, le maître du véhicule qui décidons de notre vitesse plus ou moins élevée, en-dessous ou au-dessus de la vitesse autorisée.

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