Quelles représentations de l’amour sont présentes dans ces trois textes ?

Quelles représentations de l’amour sont présentes dans ces trois textes ?

      Le corpus est constitué d’extraits de récit du XIXème : trois romans de Zola, de Flaubert et de Musset. Les trois auteurs, étroitement liée aux mouvements réalistes et romantismes évoquent les sentiments et les émotions des personnages. On peut alors se demander quelles représentations de l’amour sont présentes dans ces trois textes.

      Les deux premiers textes apparaissent d’abord dans un cadre spatio-temporel romantique. Dans le texte 1, Alfred de Musset connue comme un auteur romantique, il va utiliser des expressions romantiques très nettes « il faisait la plus belle nuit du monde ». Son texte est présenté dans un cadre spatio-temporel romantique « la lune se couchait et les étoiles brillaient d’une clarté plus vive sur un ciel d’un azur fonce ». Quant à Gustave Flaubert connue comme un auteur réaliste va en fait utiliser lui aussi des expressions romantiques « ils s’embrassaient ». Son texte est présenté dans un cadre spatio-temporelle romantique « ciel bleu, du gazon, qu’ils entendaient l’eau couler et la brise soufflant dans le feuillage »

       De plus, le soin qu’apporte chaque auteur à l’utilisation des expressions des sentiments et des émotions renforce la vraisemblance du romantique et contribue à l’illusion d’idéaliser. Dans le texte 1, Alfred de Musset va utiliser plusieurs expressions des sentiments et des émotions pour qu’il puisse idéaliser la scène du romantisme. Une sacralisation des sentiments amoureux apparait tout au long du texte « Je sentis qu’un hymne… notre amour montait à Dieu » et qu’une passion est partagée « j’entourais de mon bras… ma chère maitresse ».  Quant à Gustave Flaubert va utiliser un champ lexical de l’amour « ils s’embrassaient », « l’assouvissance de leurs désirs ». Flaubert s’amuse à parodier le romantisme pour qu’il brise le lyrisme de la scène et par l’évocation du « etc » qui va rompre le chant d’Emma. Et enfin Zola connu comme un auteur du naturalisme, va utiliser des expressions des sentiments et des émotions. Il va utiliser un champ lexical de la passion « muette tendresse », « l’avait retenue sur son cœur » et il va aussi utiliser une crudité du langage du désir « la grosse envie de nous prendre ».

Quelles représentations de l’amour sont présentes dans ces trois textes ?

   Le corpus est constitué d’extrait des romans du XIXème siècle : trois romans de Zola, de Flaubert et de Musset. Les trois auteurs, étroitement liées au mouvement réaliste et romantisme évoquent les sentiments et les émotions des personnages. On peut alors se demander quelles représentations de l’amour sont présentes dans ces trois textes.

    Les deux premiers textes apparaissent dans un cadre spatio-temporel romantique. Dans le texte 1, Alfred de Musset connu comme un auteur romantique, va utiliser des cliches romantiques très nettes « il faisait la plus belle nuit du monde ». Son texte est donc présente dans un cadre spatio-temporel romantique « la lune se couchait et les étoiles brillaient d’une clarté plus vive sur un ciel d’un azur fonce ». De plus, le soin qu’apporte Alfred de Musset utilise des expressions des sentiments et des émotions, renforce la vraisemblance du romantique et contribue à l’illusion du réelle. Une sacralisation des sentiments amoureux apparait tout au long du texte « je sentis qu’un hymne… notre amour montait à Dieu » et qu’une passion est partage « j’entourais de mon bras… ma chère maitresse ». Quant à Gustave Flaubert connu comme un auteur réaliste, va jouer avec le romantisme en utilisant des expressions romantiques « ils s’embrassaient ». Son texte est donc présente dans un spatio-temporel romantique « ciel bleu, du gazon, qu’ils entendaient l’eau couler et le brise soufflant dans un feuillage ». De plus, le soin qu’apporte Gustave Flaubert va permettre d’utiliser des expressions des sentiments et des émotions qui vont renforcer la vraisemblance du romantique qui contribue à l’illusion du réelle. Gustave Flaubert va utiliser un champ lexical de l’amour « l’assouvissance de leurs désirs ».

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