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Plan dialectique

Dissertation : Plan dialectique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Juin 2020  •  Dissertation  •  411 Mots (2 Pages)  •  936 Vues

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Plan dialectique

Thèse : Les deux auteurs ont une même vision de la fatalité.

Argument 1 : Dans ces deux poèmes, la fatalité est représentée par la mort.

Sous-argument 1.1 : Sans espoir, Garneau accepte la mort. (v.4) (v.19 à 23)

Sous-argument 1.2 : La mort est une chose inévitable pour Grandbois (v.35)

Antithèse : Dans ces deux poèmes, il y a une différence dans leur vision de la fatalité.

Argument 2 : La mort est présentée d’une façon différente dans les deux poèmes

Sous-argument 2.1 : L’oiseau est utilisé pour représenter la mort. (V. 1 à 3)

Sous-argument 2.2 : L’humain lui-même représente la mort. (v.27) (v.33)

Synthèse : Les auteurs ont une vision similaire de la fatalité

Argument 3 : Les deux auteurs acceptent la mort comme étant une chose inévitable et malheureuse.

Sous-argument 3.1 :

Sous-argument 3.2 :

Dans les deux poèmes, soit Cage d’oiseau de Saint-Denys Garneau et Ô tourments d’Alain Grandbois, le thème de la fatalité est traité de façon très similaire, car les deux auteurs ont une même vision de la fatalité, c’est-à-dire que la fatalité est représentée par la mort. Effectivement, dans le poème de Garneau, on retrouve un personnage ayant perdu tout espoir et peu à peu il accepte la fin qui l’attend, soit la mort. Au fil de ce poème, l’âme de l’auteur est incarnée par un oiseau, alors que son corps correspond à une cage d’oiseau. Il est possible de le découvrir à travers cette métaphore qui mentionne « L’oiseau dans ma cage d’os » (v.4). Ainsi pour être libre, l’oiseau devra quitter son corps, la mort semble donc la seule fin possible pour retrouver cette liberté : « Il ne pourra s’en aller / Qu’après avoir tout mangé / Mon cœur / La source du sang / Avec la vie dedans » (v. 19 à v.23). En ce qui concerne le poème de Grandbois, il admet être condamné au destin qui attend chacun d’entre nous un jour ou l’autre, la mort. Il exprime la mort à quelque chose que l’on ne peut éviter, car la vie qui n’est que passagère dans ce monde. Pour lui, nous allons tous un jour mourir « Et nous serons comme des tombes … » (v.35). Pour amplifier la mort éventuelle de chacun, l’auteur utilise ici une comparaison avec le « nous » représentant l’être humain aux « tombes » qui donne une image de la mort. Bref, Garneau et Grandbois ont les mêmes impressions quant à leur destin, soit la fin de leur existence.

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