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Nouvelle réaliste, Contre Nature ou Le Rêve d'une pédale.

Dissertation : Nouvelle réaliste, Contre Nature ou Le Rêve d'une pédale.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  9 Novembre 2016  •  Dissertation  •  958 Mots (4 Pages)  •  563 Vues

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Contre Nature ou Le Rêve D'une pédale

Loin de tout, ce lieu était à mes yeux le plus beau des endroits. J'y passais des heures entières à rêver et à imaginer une autre existence. Le chant des oiseaux et le bruit léger du ruisseau accompagnaient ces moments suspendus hors du temps.

La vie aurait été plus douce si j'étais comme tout le monde. Un oiseau se posant non loin de moi au même moment ou une larme s’écrasa sur le sol. Les feuilles d'un Saul pleureur me caressait amoureusement la tête, caresses qui en ce lieux me rappelais ma mère. Une rafale de vent déposa de nombreuses feuilles de toutes les couleurs sur la tombe de ma mère. Je me levais pour les retirer, bien évidemment que ma mère me manquait !

Ma mère est son doux visage, sa joie de vivre toujours heureuse avec son mari qui était de venu maintenant une pourriture avec moi sous prétexte que je n'aimais pas les filles. C'était une identité de ma vie, et elle était morte. Je regardais ma montre, il était déjà l'heure de quitter ses paisible caresses pour affronter se monde acerbe qui me guettait.

En classe j'avais le droit à toute sortes de surnoms bien que personne ne soit sur de leur véracité. Un élève passant devant ma table ne se gêne pas pour renverser mes cahiers qui se trouvaient sur la table.

-Et bha dis donc la pédale tu pourrais faire attention j'ai failli me les prendre !

A ce moment là on ne peut rien faire à part encaisser et laisser couler, il ne me restais encore deux ans à tenir. Ces abrutis n'iraient sûrement pas dans la même fac que moi.

-Laisse tomber c'est juste une technique pour te la toucher !

Des éclats de rire s'en suive. Je ramasse mes cahiers et ne dit absolument rien, ça pourrait s'empirer si jamais je disait quelque chose et je n'avais pas besoin de problème j'en avais déjà assez comme ça !

La journée passe et je rentre chez moi, l'endroit ou mon père doit être entrain de se soûler.

Et effectivement quand je rentre j'ai le droit à une insulte comme bonjour.

Mon père ne c'est pas remit de la mort de ma mère. Ma mère était la seule de la famille a m'accepter sans rien dire, elle, elle m'aimait.

Je m'enferme dans ma chambre pour éviter qu'il me dérange, et sors mon ordinateur pour discuter avec Akane. C'est une de mes seule amie qui ne me juge pas, elle me prévient qu'un nouveau devrait arriver demain. On shake ensemble son profil il a l'air pas mal, il a un charme certain mais je ne me fait pas de film il n'allait pas être gay. Puis une fois qu'Akane est parti se coucher j'écris comme à mon habitude une lettre à ma mère sur mon ordinateur, je sais pertinemment qu'elle ne l'a lira jamais mais j'en ai envie.

Le lendemain Akane m'attends devant la grille avec Zombie de The Cranberries, notre musique préférés, à fond. Je rigole en arrivant près d'elle.

-Tu es folle Akane Tsunemorie !

-Pas autant que toi ! J'ai parlée au nouveau, il nous rejoint à la récrée !

Les deux premiers cours se déroulaient avec les insultes habituelles, mais rien que le faite de savoir que j'allais pouvoir parler avec le nouveau me rendais joyeux, chose qui n'était pas arrivé depuis la mort de ma mère.

Peut être que j'avais envie de me faire des film, même si l'espoir fait mal.

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