Les Techniques Surréalistes

Les techniques surréalistes

I. Séance Spérite : (hypnose)

Dés 1922 et face au limite de l’écriture automatique Gervel propose à ses camardes surréalistes une autre méthode d’investigation : la properation sous hypnose. Breton décrit le décors de ces séance spirites « les font la chaîne dans le silence ridons tiré jusqu’à ce que un poète tombant en dormir, profère de surprenant oral et les phrases à toute à l’heure sans regarder sa main ».

Breton pense dés 1924 qu’il est de son devoir de mettre fin à cette clinique de faite que ce qui est libéré l’homme de ces séances engage le groupe dans une ponte dangereuse.

II. Récit de rêve : dés le 1er manifeste (1924) Breton proclame la prééminence du rêve, cette voie royale vers l’inconscient. Le rêve est ainsi recherché pour le fait qu’il manifeste une grande liberté d’imagination et une indifférence à la logique à la logique en autre, le songe autre que partie intégrante d’une conscience libre qui permet de résoudre des conflits intérieurs lorsqu’il fait objet d’une écriture interprétative.

Par le cautement littéraire de la matière otique diffère d’un auteur à un autre : Breton préfère le compte rendu clinique ; Elaud lui privilège la composition lyrique de ses rêves Artaud fait souvent du rêve une porte ouverte sur l’assaut .

III. Simulation de la folie : « contrairement au rêve qui doit être interprété, le délire et par lui-même une activité de l’inconscient.

Cette affirmation de lacon va exercer une grande influence sur les surréalistes c’est le cas particulièrement de Dali qui est son adhésion au groupe, propose dans l’âme pourri (1928) d’exercer la faculté paranoïaque pour réveiller l’inconscient depuis, la folie est célébrée comme un moyen d’expression de la pensée. Pour les surréalistes le délire n’est qu’une pensée parmi d’autres et qu’elle est inacceptable soi sanctionnée par l’incarcération car la folie relève de la liberté de chacun voir le courage de vivre sans pour respecter les principes de la réalité.

Pour Breton la folie est un réservoir de la sentimentale et les discours des fous sont des textes très poétiques dans immaculée conception 1930 écrits par Breton.

IV. Jeux surréalistes : le jeu pour les surréalistes une pratique essentielle un rituel qui renforce les liens entre les éléments du groupe.

1. Cadavre exquis : Dans ce jeu, tous les participants écrivent tour à tour une partie de phrase sur une feuille sans connaître ce que les personnes précédentes ont marqué. L'ordre syntaxique nom-adjectif-verbe-COD-adjectif doit être respecté : on obtient ainsi une phrase grammaticalement correcte. Le nom de « cadavre exquis » vient de la première phrase obtenue de cette manière : « Le cadavre – exquis – boira – le vin – nouveau ».

2. Question/réponse : il s’agit d’échanger le plus vite possible question et réponse d’une manière telle se succède sans préméditation possible.

3. L’un dans l’autre : Ce jeu décri par Breton en ce « terme : « l’un de nous sortait et devrait décidé, à part lui, de s’identifier à tel objet x ensemble des autres devraient convenir dans absence qu’il se présenterait comme un objet automatiquement objet y. et peu à peu, il y substitue l’image de l’objet x »

Le récit surréaliste

1. interdit romanesque : dés la publication du premier manifeste 1924 Breton, qualifie le roman d’activité honteuse et disqualifiant, ce discrédit vise surtout la forme romanesque héritée du 19ème siècle participant au procès du roman. Breton pense que le débat n’est pas technique mais existentiel : le roman doit changer la vie au lieu de la consigner.

Pour se faire les surréalistes produisent des récits qui mêlent narration, tissage lexico, jeux de mots et écho sonore, à la place de l’intrigue, il propose un récit d’ouverture, un récit qui programme la destinée des personnes par le mystère de son langage et de son imaginaire. Le récit surréaliste est en faite cette écriture narrative qui modifie le sujet et interroge son identité chez les surréalistes la condamnation de la préméditation de l’intrigue romanesque est relative à un choix « seul compte l’auteur et ce qu’il dit, non ce qu’il conte » Aragon.

Changement spontané ce qui compte.

Préméditation conte.

2. Pour une autre description : Breton ne voit dans la description qu’un tas de détails inutile,

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