Lectures cursives : qu'est-ce qu'un animal ?

Objet d’étude 2 la question de l’homme dans l’argumentation Séquence 3 lectures cursives : qu’est-ce qu’un animal ?

Texte 8 : Extraits d’entretiens avec Boris Cyrulnik recueillis sur internet. 2003 et /2006

I) 1) lire tous les textes seul un stylo à la main

2) résumer § par § les idées émises de chaque texte (sur votre copie au propre )

Premier entretien :

§ 1 : Karine Lou Matignon présente le point de départ de l’entretien : le lien entre l’homme et l’animal au niveau du comportement et du développement biologique de l’animal elle propose le chien pour un exemple d’animal.

§ 2 : Boris Cyrulnik affirme qu’entre l’Homme et l’animal il ya une matérialisation des pensée, le chien s’adapte aux pensées de son propriétaire.

§ 3 : B.C prouve qu’il y a une matérialisation des pensées, avec les vétérinaires avec qui il travaille il a constaté qu’un chien souffrant d’une maladie grave est souvent du a la pensée du propriétaire. Ex : un chien qui remplace un ancien peut sentir qu’il n’est pas aussi bien que l’ancien.

§ 4 : B.C dit que sont raisonnement de § précédent il faut combiner deux métier : vétérinaire et psychologue.

§ 5 : K.L.M demande à B.C si selon lui étudier l’animal permet de comprendre le comportement humain.

§ 6 : La réponse de B.C est affirmative. Selon lui la parole est la première gestualité de l’homme qui est proche de l’animalité.

§ 7 : Pour B.C après le langage une deuxième gestualité apparaît : la culture. La première gestuelle nous permet de comprendre que la parole peut changer la biologie en changeant les émotions.

§ 8 : K.L.M fait avancer le débat en demandant à B.C quel genre de naturalisme est l’éthologie.

§ 9 : B.C répond que l’éthologie c’est du naturalisme car elle appréhende l’homme dans sa globalité, dans son environnement.

§ 10 : B.C continu son explication, pour lui et les vétérinaires la condition naturelle de l’homme c’est sa culture. Il donne un exemple avec un chien : le couple propriétaire du chien se dispute pour une réponse demandé par le vétérinaire, finalement le vétérinaire demande que seulement la femme réponde, le mari énervé demande bruyamment au chien de se taire (car pendent ce temps la le chien aboyais bruyamment).

§ 11 : Dans l’exemple qu’il à donné le chien est le symptôme de la compétition du couple

§ 12 : K.L.M demande à B.C si le comportement du chien correspond à celui de ses propriétaires.

§ 13 : Pour B.C c’est le cas et ça va encore plus loin, pour lui le choix de race du chien vient de la culture.

§ 14 : Nouvelle question de K.L.M, nos odeurs, regards, gestes et paroles parlent aux animaux.

§ 15 et 16 : B.C dit qu’il semble exister un langage universel entre toutes les espèces. Le toucher permet aussi de captiver l’intention d’un animal. Une approche neutre peut aussi avoir un impacte, il prouve tout cela par des exemples et contre exemple.

§ 17 : K.L.M demande à B.C si les animaux nous obligent à remettre en cause nos certitudes.

§ 18 : B.C : les animaux ne sont pas des machines1ère certitude à rejeter, car ils pensent et ils ont un langage.

§ 19 : plusieurs exemples

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