Lecture d'image Courbet, L'enterrement à Ornans

        Le tableau que nous étudions est « L’enterrement à Ornans » de Courbet. Il date de 1849-1850, il mesure 315 x 668 cm, la technique utilisé est huile sur toile. Il est maintenant conservé au musée d’Orsay.

        Le premier plan comporte la fosse sombre et de grande taille ainsi que le chien blanc et noir, debout, tête tourné opposé de la fosse, de taille moyenne, queue baissé et portant un collier.

        De plus, au second plan, nous voyons des têtes plus ou moins tourné vers la fosse.  Ce public est  très nombreux et est majoritairement vêtu de noir. Les seules personnes habillées autre que de couleur noir sont les enfants de chœurs vêtus en blanc à gauche du tableau et les deux évêques habillés de rouge. Au centre, un homme a un mouchoir devant ces yeux.

        Enfin, à l’arrière-plan, nous apercevons un relief naturel, la croix et la lumière naturelle venant de la droite derrière le relief. La croix est dirigée vers cette lumière à droite.

        Le tableau est composé de trois quart du paysage et un quart du paysage. Les lignes sont majoritairement verticales parles pattes du chien, les personnes et la croix mais aussi horizontale sur l’arrière et le premier plan, par le paysage et la fosse. Le point de fuit est la tête de l’homme au centre.

        Les visages qui ne sont pas tournés sur la fosse cela peut s’expliquer parle faite qu’au XIXe siècle dans les villages il fallait se montre dans les enterrements pour avoir du monde au sein. LE sentiment de tristesse que nous pouvons voir sur les visages des gens peut être la mise en scène du propre enterrement du peintre. La peur du chien se voit par sa queue baissée.

De plus le faite que la croix soit au-dessus de tout le monde montre qu’à l’époque les gens ne faisaient rien sans la religion et surtout à la campagne.

Par ailleurs, la couleur noir de habits est une marque d’élégance, la tenue du dimanche, accompagne dans le quotidien, ce n’est pas une couleur de deuil.

Enfin, le lien avec le Réalisme est tout de suite voyant car le tableau n’est pas embellir, ni enlaidir, ni idéaliser, il est crédible, vraisemblable, lieu réels, qui ont un lien avec eux, même époque de vie que les peintres, « petit fait vrai du quotidien », milieu social élevé, thème de l’argent dans les costumes du public, le statut de la femme ; ainsi que le lien de la religion et le ciel qui à l’époque il n’y avait pas de montre.

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