Le Théatre Et L'absurde

Le théâtre de l’absurde

Né dans les années 1950 → contexte de l’après-guerre : prise conscience de l’horreur qui est révélé au grand public + contexte de la guerre froide.

Formulé par Martin Esslin (écrivain et critique) en 1971.

Caractéristique :

_ Les écrivains expose leurs sentiments de l’irrationnel de la conditions humaine sous la forme d’un raisonnement lucide et logiquement construit.

_ Le théâtre abandonne les démarche classique et la pensé discursive.

_ Les personnage sont burlesque et ridicule. Ils n’ont pas d’identité fixe.

_ Il traite l’absurdité de la vie(aspect dérisoire de la vie, face à l’échéance inéluctable que constitue la mort).

_ Il y a une disparitions de l’intrigue.

_ Le lieu et le temps sont imprécis ou incohérents.

_ Le langage est détruit et rend la conversation difficile. Le langage représente la vie, laquelle est elle-même ridicule. Il y a souvent un jeux sur le langage.

_ Les didascalie ont beaucoup d’importance, plus que la parole.

_ Un aspect tragique : la solitude, la souffrance, l’absurdité de la condition humaine. La scène se déroule souvent dans un climat de catastrophe mais le comique s’y mêle—> caractère absurde.

_ Un comique : interprété par des gestes.

Les principaux œuvres :

_ Samuel Beckett : En attendant Godot, 1952

_ Eugène Ionesco : La Cantatrice chauve, 1951

_ Jean Genet : Les Bonnes, 1947

_ Ionesco : Rinocéros, 1959

les principaux thèmes :

_ La solitude de l’homme, qui se sent étranger dans le monde

_ L’écoulement infini du temps, dans un univers sans passé et sans avenir

_ Le vide d’un espace sans repères

_ La vanité des actions humaines

_ L’absurdité de la condition humaine

_ La mort

Le théâtre de l’absurde montre l’absurdité du monde en remettant en cause les éléments traditionnelle du théâtre(mimesis) et il met en place l’imagination. Il rompt avec les genres classiques.

Ionesco est très pessimiste : ‘’le théâtre doit donner forme à l’angoisse intérieur et la pièce n’est pas conduite de l’histoire mais structuré’’.

L’existentialisme : est un mouvement philosophique et littéraire qui se porte essentiellement sur que chaque personne est maître de ses actions, de son destin et des valeurs qu’il adopte.

Il se développe dans les années 50. il s’interroge aussi sur le sens

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