La marmite - KOKA-Mbala

Corps du devoir

I/ Biobibliographie: a) Biographie: GUY MENGA, l’auteur de la piècethéâtrale La marmite de KOKA-Mbala dont son vrai nom opte Birguta-Menga est en 1935 dans le sud du Congo. Il fait toutes ses études à Brazzaville. Il enseigne pendant cinq ans avant de devenir journaliste à l’OCORA (Office de Coopération Radiophonique). En 1968, il est à la fois animateur et directeur des programmes à le radio fusion et télévision congolaise. Il est déjà d’ici l’auteur de quelques piècesthéâtrales et de novelle. Il reçoitégalement le grand prix littéraire de l’Afrique noire 1969

b) Bibliographie: - La marmite de KOKA-Mbala;théâtre; Paris; ORTF-DAEC (1969). - L’oracle; théâtre; Paris; ORTF-DAEC (1969). - La palabre stérile; nouvelle; Yaoundé;Editionclé (1969). - Okouele; théâtre;Yaoundé; Editionclé (1971). - Kota wali; Dakar Abidjan; NEA (1977).

II/ Etude des personnages: Ce livre relèveassez de personnages ignobles et d’autre part des personnages clairvoyants. Dans cette pièce, l’on retrouve:un roi (BINTSAMOU) qui était sous l’emprise d’une certaine marmite maléfique qui représentait les ancestrales et conçut par le premier conseiller (BOBOLO) le plus maquignon du village. Sanspitié, ni compassion était ce conseiller. La reine (LEMBA) la plus dévouer et bien réfléchis pour conseiller sa majesté, son mari. Les quatre conseillers peureux qui n’agissent que par égoïsme. Le jeune bandit (BITALA) malgré sa faute, est le plus prévoyant et a put sauver son royaume.

III/ Etude thématique: La pièce La marmite de KOKA-Mbala a pour thème: « La pratique ancestrale »; c’est-à-dire que cette pièce aborde un thème en rapport avec la tradition mal conçutet très injuste.

IV/ Résume complète de la pièce: Cette histoire ce déroule dans le royaume de KOKA-Mbala au Congo. Dans ce royaume des lois fixéesétaient rigides et injuste. Elles consistent à tuer tous ce qui ceux qui ne respecté pas les règles de la doctrine celez aussi. Il était interdit à tout homme de lever les yeux sur une femme et intéressement. Peu importe l’endroit et la femme qui s’entretenait avec un homme est condamnées à garder la tête baissée pendant la discussion. Il en était de même pour le vol. Très souvent seul le jeune jugement était victimes et leur jugement était sans clémencecontrairement taux adultes. Pour les jeunes les choses s’empirèrent pour le règne du roi Bintsamou, dont le 1er conseiller Bobolo avait inventée une marmite à esprits destinées à faire peur à ceux qui hésitait à prononcée le jugement de mort de tout jeune.

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