La guerre

Nela Houšková, étudiante Erasmus

Dissertation : La guerre est “une expérience humaine” qui touche tout le monde, depuis simple soldat jusqu'au commandant. Il s'agit d'une expérience exceptionnelle, dans le sens ou est constitué.

          L'artiste français Francis Jean Blanche, particulièrement l'acteur, humoriste et chanteur, a dit une fois que “La guerre n'existerait pas, sans la littérature. Et il n'y aurait plus de crime possible, si le meurtrier ne pouvait pleurer un peu sur ses victimes.”. En effet cette citation peut nous convaincre que la guerre s'est inscrite dans la littérature et est touchée par de nombreuses personnes qui ont quoi dire à ce sujet là. Les victimes et surtout les meurtriers sont ceux qui étaient totalement influencés par la guerre ou malheureusement leurs vies ont fini à cette époque là.

          Mais ce ne sont pas seulement les acteurs de la guerre qui ont été touchés par cette expérience exceptionelle. Les deux guerres mondiales se passent dans la première moitié du XXe siècle et nous pouvons trouver énormément d'œuvres écrites sur ce cataclysme. Il s'agit vraiment d'une expérience intérieure pour la société. Et nous nous demanderons si nous pouvons dire que tout le monde était touché par la guerre à cette époque là? Aussi les futures générations? Qui était en effet ébranlé par cet art militaire?

          Tout d'abord nous nous appuyerons sur les commandants, les soldats, les militaires qui étaient fortement touchés par la guerre. Nous decrivons leurs conditions trés diffciles pendant la guerre, ensuite nous parlerons de leurs sentiments vers ses femmes et la maque de la tendresse. Dans la deuxiéme partie nous analyserons les civils pendant la guerre et comment ils étaient influencés par cette “expérience humaine”.

          Les êtres humains qui étaient les plus influencés par la guerre et leurs vies ont été totalement changés par cette bataille sont évidemment les militaires. Durant ce temps-là, les combattants vivent vraiment dans des conditions difficiles et endurant les échecs qui s'enchaînent. “L'enfer des tranchées” reste vraiment le symbole de la Grande Guerre.

          Tout d'abord tous les soldats ont vécu vraiment dans des conditions très difficiles, catastrophiques ce qui les a sûrement influencé dans leurs vies de façon physique mais aussi psychique. Les soldats sont entourés par les fils barbelés. Ils ne mangeaient pas beaucoup, ils n'ont que des conserves, du pain ou de la soupe. En plus ils étaient très découragés. Ils vivaient vraiment dans l'humidité, dans la crasse, dans la puanteur dans la boue. Il faut aussi ajouter qu'ils ne dormaient pas beaucoup, pendant que certains dormaient des autres surveillaient. Les soldats avaient du froid, la nostalgie du foyer, ils étaient tout le temps sales et les poux endrucissaient chaque minute leur séjour. Pour les soldats, c'était très difficile de garder son moral. En effet, les soldats ont ténu trois ans dans les tranchées. Après la guerre, les soldats veulaient oublier à cette période mais il y a certainement des retours dans le passé. Ce n'est pas facile d' oublier cette expérience horrible. Par exemple, le livre Le Voyage au bout de la nuit est une autobiographie de Louis-Ferdinand Céline pendant sa participation à la Première Guerre mondiale et donc il relève ainsi l'absurdité du monde. La génération des écrivains à laquelle appartient Céline a été fortement marquée par la guerre.

          De même tous ces hommes, bataillant infiniment pour leur pays, avaient ainsi des sentiments, avaient aussi le cœur et veulent déjà être avec leurs familles et ces bien-aimés. Ce ne sont pas des hommes sans émotions. Pour eux était très difficile etre tellement cruels et de se battre á l'infini avec leurs ennemis. Pendant la Première Guerre mondiale, des poilus ont vécu vraiment dans des conditions catastrophiques, outre les souffrances morales omniprésentes, qui leur ont rongé le cœur et affaibli leur état psychique. Surtout des soldats souffraient en permanence de la mort et de toutes les horreurs qui s'y déroulaient au quotidien. Notamment tous ces soldats perdant leurs camarades, leurs compagnons pendant la guerre doivaient etre de plus en plus énervé contre la guerre et psychiquement fragiles de ce qui se passe autour d'eux. La solidarité de la camaraderie du front était très forte bien que certains soient contre la guerre. Ils persistaient ainsi une forte haine contre l'adversaire. En effet, pour soulager leurs émotions, ce qu'ils sentaient, la plupart des soldats a écrit ses journaux intimes ou les lettres d'amour à leurs femmes. En outre, il y avait très peu de rapport entre le front et l'arrière; les quelques lettres qu'ils envoiaient sont soumises à la censure et seulement un petit nombre d'entre elles sont parvenus à leur destinataire. Nous pouvons citer l'exemple de l'homme du front Pierre Loti qui “a publié” son journal intime pendant La Première Guerre mondiale appelé Journal Intime (1914-1918) -Soldats bleus. Il nous offre dans ces pages une large vision de la Grande Guerre, vécue, inattendue et vivante. L'écrivain mêle ses sentiments de sa vie au front et de sa vie sociale, des sentiments que l'on partage rapidement.

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