La Renaissance

La Renaissance > Le XVIè siècle

L’humanisme :

retour aux sources antiques (textes latins / grecs > universités et études se développent) > retour aux textes et création d’une langue « savante » (par opposition à la langue courante « populaire » provenant d’un latin dégradé et assimilé au gaulois, et autres langues selon les invasions, p. ex., l’Arabe) + Importance de la littérature italienne (cf. Dante > d’où le sonnet)

interrogation sur l’être humain (1ères dissections hors de la connaissance de l’Eglise) > admiration pour le corps humain et sa beauté (façon aussi de célébrer la Création divine) (se rappeler Galilée et son procès)

grandes découvertes (fin du M. Age avec la découverte d’Hispaniola et des Amériques) >découvertes d’autres populations/civilisations/cultures > réflexion ethnologique/sociologique qui en découle. Réflexion critiques.

Mise en place de l’imprimerie (Gutenberg) > possibilité de transmettre les œuvres

Réflexions sur l’éducation des enfants notamment

Un siècle qui se clôt sur les guerres de religion > pessimisme, après l’explosion d’enthousiasme marquant d’une certaine façon une rupture avec le Moyen-Age.

Création d’un groupe de poètes : La Pléiade (rappel mythologique) > dont Ronsard et du Bellay > innutrition des textes latins, grecs, italiens pour la création française littéraire et linguistique (Du Bellay, Défense et illustration de la langue française).

Attention, quand ‘Amour’ s’écrit sans article avec une majuscule, il est le dieu de l’Amour, càd la version linguistique française de Cupidon (lat) ou d’Eros (gr).

Anagrammes à connaître : eros > rose (symbole de l’amour) / Marie > aimer (tjs le sentiment amoureux)

Formes poétiques : sonnet et ode

Cf Rabelais (> récits extraordinaire, où se mêlent questionnement, intrigue et épopée) : réflexion sur l’humain via les géants Pantagruel et Gargantua. Goût du corps / peur de la puissance de la nature / réflexion sur la vie et la mort (quel choix faire > Panurge, le géant fort humain, plein de doutes) > savoir extraire de tout « la substantifique moëlle », et puis « le ris est le propre de l’homme », « mieux vaut une tête bien faite que bien pleine » > cf préfaces de ses récits.

...