La Question De L'homme Dans Les Genres De L'argumentation

La question de l’homme dans les genres de l’argumentation :

Jean-Jacques Rousseau a déclaré : « L’homme est né bon mais c’est la société qui le corrompt ». Mais avant tout, il important de savoir qu’en octobre 1749, Rousseau se rend à Vincennes pour voir son ami Diderot et découvre dans le journal Le Mercure de France le sujet d’un concours organisé par l'Académie de Dijon : "Si les progrès des sciences et des arts a contribué à corrompre ou à épurer les mœurs". La réponse à ce sujet sera la première grande œuvre de Rousseau. Dans cet ouvrage, Rousseau exprime que pour lui, ils ont corrompu l'homme car ils sont liés au luxe, alors que l'homme est fait pour vivre dans la Nature. Par la suite de la publication de son ouvrage, il gagna le premier prix de l’Académie de Dijon. Mais après ça, un grand nombre de philosophes ne partagent pas les mêmes idées que lui, face à ses réactions il alla à l’encontre de ses propos en répondant que la régression est impossible. Par la suite, Jean-Jacques Rousseau a écrit une seconde œuvre en 1753 suite à un second sujet posé par l’Académie de Dijon : « L’inégalité est-elle voulue par la Nature ? ». Il ne réussit pas à avoir ce même prix car il pense que l’homme n’est présent que pour vivre seul et que l’inégalité de la propriété et de la société. L’Académie de Dijon, n’était donc pas en accord avec les idées de Rousseau, mais malgré ce désaccord il publiera son œuvre : « Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes », en 1755. A la suite de cette publication, il retourna à Genève, qu’il avait fuit pendant sa jeunesse, mais il n’avait accès à un domicile que grâce à sa conversion au catholicisme, mais suite à sa conversion à protestantisme, il perd donc son domicile et choisit de partir, ce choix sera amplifié par l’arrivée de Voltaire à Genève. Rousseau eu un grand succès avec son œuvre mais grâce à Voltaire qui l’a déformée, cela était donc une grande souffrance pour Rousseau, c’était un succès de scandale. Il fait donc de nombreuses crises de révolte contre la misère du peuple, il n’est pas un bel esprit comme son ennemi Voltaire. Rousseau se demandait si l’Homme primitif était-il plus heureux. Il reprend donc une constitution fictive de l’histoire de l’humanité dans son « Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes », selon Rousseau, les hommes étaient heureux « autant qu’ils pouvaient l’être par leur Nature » mais il remarqua que dès qu’un s’aperçut qu’il était utile « d’être plusieurs pour certaines tâches ». Le Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes comporte deux parties essentielles : dans la première, m’auteur traite la question de l’homme à l’état de nature, c’est-à-dire un état dans lequel ce dernier ne vivait pas encore avec les autres. La deuxième partie quant à elle parle de l’homme à l’état de société

Après la lecture d’une partie de la seconde partie, nous pouvons nous demander si l’Homme est aussi heureux de nos jours qu’il l’était à l’état « primitif ». Ainsi, nous verrons le malheur de l’Homme moderne et le bonheur de l’Homme sauvage.

(ici les rapports entre les hommes ne sont pas encore régulés par les lois politiques ou conventionnellement admises ; elles sont, soit celles des plus forts, soit celle des plus fortunés. Mais de quoi s’agit-il dans ce livre ?

I- Le malheur de l’Homme moderne :

A- Le déclin et le malheur de l’Homme social :

- Passage dans un monde malheureux avec une série d’antithèses, il y a donc un rapprochement entre deux mots ou des groupes de mots exprimant des idées contraires. Avec : « vastes forêts », ce qui permet d’exprimer la nature a son état brut ; « campagnes riantes », ce qui permet d’exprimer la « nouvelle » nature, la nature civilisée. Mais ces derniers termes ne sont pas totalement péjoratif en effet les « campagnes riantes » peuvent aussi exprimer la beauté.

- « arroser de la sueur des hommes », la sueur fait donc un rappel à la douleur, à l’effort, de plus la sueur peut rappeler aussi

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