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La Question De L'homme Dans L'argumentation

Dissertation : La Question De L'homme Dans L'argumentation. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Décembre 2013  •  1 037 Mots (5 Pages)  •  2 159 Vues

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C’est un passage du 28eme des 57 passages du livre 1 (3livres) 1571-1580, publié en 1588, enfermé dans tour → écrit des essais.

Dans essais, Montaigne mêle autobiographie et réflexion générale à dimension philosophique.

Montaigne rend hommage à son ami décéder.

Aperçu de la pensée humaniste de Montaigne qui accorde beaucoup d’importance au sentiment de connivence intellectuel, dont la relation entre Montaigne et La Boétie.

Question : De quelle manière Montaigne développe-t-il une réflexion personnelle et générale à la fois.

I. Une amitié exemplaire

1) Un modèle

2) L’amitié selon Montaigne

3) Une relation inexprimable

1) De la ligne 1 à 4 → définition générale de l’amitié

Adverbe « ordinairement », utilisation de « nous »et non de « je », utilisation au pluriel.

L5, transition entre la définition et l’exemple de la relation entre La Boétie et Montaigne.

De la l7 à la fin, développement de la relation entre Montaigne et la Boétie.

Dans le 2eme paragraphe, 4étapes :

•l9/10, une prédestination, il devait se rencontrer.

•intérêt, une admiration pour l’autre (l10/11)

•l11, rencontre, entente immédiate et puissance inouïs du sentiment.

•fusion des âmes (l20) amitié parfaite.

Modèle de la définition donné au début du texte.

Différence place définition et le récit de la relation, s’explique par la volonté de Montaigne de rendre hommage à son ami décéder.

2) Montaigne commence sa définition avec du présent de vérité générale.

Il fait une différence de nature entre les 2 amitiés, la médiocrité de l’amitié commune qui est confondu avec les pratiques générale de la sociabilité.

Confusion entre l’amitié commune et l’amitié véritable.

« Ordinairement » insiste sur la banalité et l’absence d’approfondissement de la définition.

Beaucoup de gens confondent amitié et relation, comme le montre la construction restrictive « ce ne sont que ».

Il nous explique ici que l’amitié commune est le fruit du hasard et des intérêts. L’intérêt dans le texte est exprimé par le mot « commodité » = ça sort.

Face à cette amitié de hasard, nous avons l’amitié véritable, qui permet d’être + heureux.

(l3/4) Pour Montaigne ; il n’y a que les gens qui ont une noble qui peuvent ressentir une vrai amitié. Opposition entre « nous » et « je », nous→ensemble, je→distingue.

Amitiés communes ≠ amitié parfaite, car rares.

Conception antique de l’amitié, vertu politique, vie en société, sentiments réservé à une élite masculine. C’est l’amitié qui existe entre 2 hommes d’égale vertu fondé sur le respect, l’admiration et la culture (l15).

Pour Montaigne, cette amitié parfaite s’explique, s’exprime par une entente parfaite.

Champs lexical de l’union :

Construction complémentaire, l3/l13→l’une et l’autre.

Construction en chiasme : « parce que c’était lui, parce que c’était moi » (l5) + (l20/21)

Cette relation est extrêmement puissante, utilisation des intensifs : « si » (l12 & 14)

3) Relation ambigüe, se situe entre amour et amitié, la qualité exceptionnelle entre les 2 hommes implique une incapacité de la caractériser.

Dans le texte, savoir→forme négative (l7/8 & l19)

Pour Montaigne cette amitié = résultat d’une force extérieur à lui-même, qui abolit sa capacité de jugement et réflexion (l7, 8,20/21).

Pas de mot pour décrire cette relation car relation unique.

Montaigne est littéralement envahit par des sentiments qui le dépassent, évoque sa relation avec des sentiments subjectif (l5, l10).

Le verbe croire exprime une incertitude quant à ce qu’est la relation

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