La Littérature Une Arme De Combat Efficasse

Un poète et philosophe français (Paul Valéry) dit « Depuis longtemps déjà on savait que la littérature peut s’employer à d’autres fins que le seul plaisir de la lecture». En effet, les œuvres littéraires n’ont pas seulement pour but de faire évader leurs lecteurs, elles ont d’autres buts qui mette le lecteur fasse à une analyse plus approfondie. Même si souvent, les écrivains étaient considérés comme des êtres à part, qui ne se mêle pas à leurs époques; ils ont par le biais de la littérature lutter contre des injustices concrètes. Est-ce que une œuvre littéraire peut être un moyen efficace pour lutter contre les maux de la société? Tout d’abord nous étudierons la critique directe de la société, puis, les critiques indirectes que met en place la littérature à travers plusieurs procédés stylistiques.

Depuis toujours, les écrivains transmettent certaines idées à travers leurs écrits, ils se servent de la littérature comme un outil, leurs permettant de critiquer directement la société.

Tout d’abord, la littérature critique les nombreuses inégalités et injustices sociales. C’est le cas, par exemple de Voltaire qui, dans son conte philosophie Candide ou l’Optimiste, a introduit une critique de la société par le biais de descriptions et de portraits de personnage ayant des traits distinctifs. La littérature a souvent critiqué la guerre. Dans le troisième chapitre de l’œuvre Candide, Voltaire montre à quel point la guerre est absurde. Il décrit les villages hors des champs de bataille, met l’accent sur les deux «troupes» (les Bulgares et les Arabes), etc. Il démontre que la guerre n’a jamais un vrai vainqueur, en effet tous ceux qui en prennent parti en sortent affaiblis, et détruits. Pour ce faire il utilise des expressions assez violentes tel que : «femmes égorgées», «mamelles sanglantes», «filles éventrés» et «jambes coupés».

Un autre exemple est celui de La Bruyère qui, dans son œuvre littéraire Les Caractères, critique la société de son époque, et met en parallèle deux classes sociales : les pauvres et les riches. Les portraits croisés servent à démontrer les contradictions de la société. Il insiste sur la misère du peuple en utilisant un champ lexical animal. Celui-ci souligne encore plus les oppositions: il montre d’un cote la misère des pauvres puis, d’autre part l’égoïsme des riches.

Les auteurs jouent souvent sur les émotions pour créer une révolte ainsi qu’une indignation aux lecteurs. Cela permet d’augmenter la critique de l’inégalité sociale, et aussi d’informer le lecteur et donc lui développer son esprit critique.

Tout comme Voltaire, Montesquieu est un autre qui critique les injustices sociales. Particulièrement dans son œuvre L’Esprit des lois il critique l’esclavage, les injustices sociales que les esclaves rencontrent dans la société, la barbarie ainsi que le sens de supériorité qui règne.

Roussi fait également parti de ceux qui critique les injustices sociales. Dans son œuvre Discours, Rousseau évoque d’abord l’état premier de l’homme. Où tous étaient «libres, sains, et bons». Il utilise un discours oratoire puis des anaphores. Grace à des énumérations, Rousseau parvient à persuader le lecteur de la négativité de la société. Il reussire à influencé de nombreux autres auteurs.

La littérature mène une lutte acharné qui vise la religion et l’intolérance. Les Lettres persanes de Montesquieu par exemple. Il présente le pape comme un m magicien, un magicien qui peut manipuler beaucoup de personnes qui sans aucun esprit critique croie ce qu’il soutient. Voltaire critique lui aussi la religion; dans le sixième chapitre de Candide, les hommes

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