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L'assommoir, Zola, 1877

Commentaire de texte : L'assommoir, Zola, 1877. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Novembre 2017  •  Commentaire de texte  •  957 Mots (4 Pages)  •  1 360 Vues

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 l’Assommoir, écrit en 1877 est un roman naturaliste, écrit par zola ou Il met en scène les méfaits de l’alcool sur le monde ouvrier de la fin du XIXème siècle.L' extrait que nous allons étudier est l'excipit de l'Assommoir . Zola est un écrivain du XIXème du mouvement naturaliste, il a ainsi ecrit une série de roman naturaliste « les rougon-Macquart » dont est issue l'assommoir le roman soumis a notre étude

 Dans cet extrait, Gervaise est une pauvre blanchisseuse qui vit dans la pauvreté et qui a sombré dans l'alcool, elle vit ses dernier jour d’existence misérable.  Elle n'a plus personne et s'apprête à mourir seule, dans a misère et dans d'horribles conditions.

 Nous nous demanderons alors en quoi cet extrait est un texte du mouvement naturaliste.

Dans ce commentaire nous étudierons d'abord en quoi ce passage exprime la décheance de gervaise, puis nous verrons quels sont les procédés utilisés par l'auteur pour "animaliser" Gervaise et enfin comment la mort de gervaise est-elle mise en place.

Tout d'abord dans cet extrait on decrit la lente décheance de gervaise qui l'amènera a finir sa malheureusement vie

gervaise devient folle elle perd la tête et vit comme un annimal elle est maintenant une acro a l'alcool La mort de Gervaise est lente comme le souligne le champ lexical de la lenteur pour exprimer ainsi une lente déchéance : « dura des mois », « mourait un peu de faim tous les jours », « petit à petit, morceau par morceau », «  Un soir »,  « Maintenant, elle habitait la niche », , «  Un matin », « depuis deux jours »« traînant ainsi jusqu’au bout ».

 ainsi que par « mourrait » un peu tous les jours. On exprime que le fait que Tous les jours, Gervaise perd un peu de vie.  
Gervaise est dans un processus de
décomposition. Elle est comme progressivement démembrée « morceau par morceau ».

.La pauvreté de gervaise 

Gervaise vit dans la misère elle n'a ni de quoi manger ni de quoi se loger, elle est entrainé dans l'alcool qui la rend malade en effet elle est tellement acro qu'elle se comporte comme un annimal « on avait parié qu'elle ne mangerait pas queque chose de dgoutant, et elle l'avait fait pour 10 sous » montre qu'elle ferrait n'importe quoi pour boire ainsi que  Le thème de l'hérédité : " Dès qu'elle possédait quatre sous, elle buvait ". La vie de Gervaise est soumise à une fatalité.

Le vocabulaire de la misère est invoqué mainte et mainte fois : Gervaise connait la faim (" mourait un peu de faim ", " le ventre vide "), le froid (" elle claquait du bec ", " les os glacés "), l'expulsion (" M. Marescot s'était décidé à l'expulser de la chambre du 6ème ", " elle habitait la niche du père Bru ") l'humiliation (" on la chargeait des sales commissions du quartier ") et le retour à l'animalité : " elle habitait la niche du père Bru ".  A la fin, le mot " misère " est employé par le narrateur : " elle s'en allait de misère " : ce terme appelle les pluriels " ordures et " fatigues " c'est l'expressionde l'accumulation des misères absolues.

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