Fiche lecture magnus

Mattei Jeanne TL1

Presentation :

Magnus est un roman de Sylvie Germain paru aux éditions Albin Michel en  2005.

Sujet : Comment faire le portrait d’un homme perdu qui ne se connait pas lui-même ?

Le roman s’inscrit dans le thème 1 du livre ’histoire : «Le rapport des sociétés à leur passé»

Le roman de Sylvie germain a été redigé bien longtemps apres les faits cependant il ne s’agit pas d’un roman caricatural sur la seconde guerre mondial : il semble très realiste et pas on n’a pas l’impression d’entrer dans une sorte de livre pompeux qui se veut mémoire des malheurs de la guerre. C’est très agreable de lire un livre qi raconte la guerre autrement.

 AUTEUR Etant née 10 ans apres la seconde guerre mondiale il se peut que sylvie germain ai grandi dans une periode d’apres guerre ou le traumatisme face à la decouverte du processus d’extermination des juifs et autres horreurs nazies marquait encore fortement les esprits, notament sa famille . Peut etre qu’il s’agit aussi d’un trvail de mémoire fait par l’auteur.

 GENRE LITTERAIRELe roman est réaliste, car l'enfance de Magnus se passa pendant la Seconde Guerre mondiale, donc il est basé sur une période historique réelle : l’auteur ne prend pas vraiment de liberté par rapport à la réalité car c’est un sujet encore au cœur des mémoires et le roman ne se veut pas science-fiction : il y a aussi, en dehors de cette quête de soi,  la volonté de l’auteur de dénoncer la guerre sous un angle nouveau : celle d’un petit garcon.

resumé

Le roman Magnus  a reçu le Prix Goncourt des lycéens et le Prix Liste Goncourt : le choix polonais.

Morceau choisi

 VOS  CRITIQUES :J'ai beaucoup aimé la plume de Sylvie Germain : les mots travaillés et précis dans le recherche de vocubalaire  ainsi que la structure du roman ; en effet le livre est divisé en fragments qui correspondent en retour de mémoire de Franz. Ces fragments sont séparés par des échos, séquences, résonances et notules et l’auteur enrichie son texte avec des images visuelles et sonores ce qui rend la lecture très agréable cependant à cause de cette division du roman j’ai eu un petit peu de mal à rentrer dans le livre et j’avais peur que cela me détache de l’histoire.  J’ai trouvé qu’il était interressant d’utiliser un ours en peluche comme seule preuve d’un passé oublié car j’aime la part de mystère qui réside dans les peluches d’enfants et j’ai beaucoup aimé le fait que l’histoire se passe du coté des nazis (le père de Franz était un criminel de guerre ) car cela montre l’universalité de la guerre puisqu’elle touche aussi les personnages principaux.  L’evocation de la quete du soi m’a plu dès le debut parce que c’est quelque chose d’universel, qui nous touche tous mais cependant j’ai trouvé que les méatphores philosphiques étaient trop nombreuses et je n’ai pas aimé que le personnage voyage autant. Le fait que Peggy son amour retrouvé se face écraser par le père mort puis vivant de Franz est à l’image de ma critique : je trouve qu’il y a trop de rebondissement pour le serieux des deux sujets traités que sont la seconde guerre mondiale et la perte d’identité.

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