Etude d'un article issu de la revue « Gérontologie et société » vol.19 n° 118, « Réflexions sur les philosophies de soins » il s’étend de la page 37 à 54
Fiche de lecture : Etude d'un article issu de la revue « Gérontologie et société » vol.19 n° 118, « Réflexions sur les philosophies de soins » il s’étend de la page 37 à 54. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar fabien-barthok • 25 Janvier 2021 • Fiche de lecture • 1 018 Mots (5 Pages) • 403 Vues
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Année 2019-2020
FICHE DE LECTURE
Fiche de lecture N° 1 Date de lecture : 29/01/2020
N° d'anonymat : 609
Réflexions sur les philosophies de soins
Jérôme PELLISSIER
« Gérontologie et société » vol. 29 / n° 118 de septembre 2006, 168 pages, éditeur : Fond. Nationale de Gérontologie
PLAN :
1. Genre de l’ouvrage-article.
2. Références bibliographiques.
3. Synthèse de l’ouvrage.
4. Mots clés.
5. Commentaires personnels sur l’ouvrage.
6. Objectifs opérationnels en lien avec l’ouvrage que je souhaite développer dans ma pratique professionnelle.
7. Lectures précédentes.
8. Lectures envisagées à la suite de cet ouvrage.
9. Conclusion de la fiche.
Genre de l’ouvrage-article :
Cet article est issu de la revue « Gérontologie et société » vol.19 n° 118, « Réflexions sur les philosophies de soins » il s’étend de la page 37 à 54.
Références bibliographiques
Auteur(s) | Jérôme PELLISSIER |
Notes sur l’auteur | Chercheur et formateur en psycho-gérontologie. Il est l'auteur de « La nuit, tous les vieux sont gris » (2003) et de « Humanitude » (avec Yves Gineste, 2005, 2007). Jérôme PELLISSIER a également écrit dans plusieurs revues sur le sujet « du prendre soin » |
Date de l’édition | Septembre 2006 |
Edition | Fond. Nationale de Gérontologie |
Nombre de pages | Revue de 168 pages |
Référence des Publications | |
Site internet | https://www.cairn.info/revue-gerontologie-et-societe1-2006-3-page-37.htm |
Synthèse de l’ouvrage-article :
L’article faisant 19 pages j’ai volontairement choisi de travailler sur « penser la relation de soins » qui s’étend de la page 49 à la page 51.
Dans la « théorie Henderson-Maslow » la réflexion sur les besoins d’Henderson a été peu à peu supplanté par la réflexion sur la manière dont le professionnel va répondre à ce besoin de Maslow. Le théorie « Henderson-Maslow » bien qu’étant une philosophie de soin s’éloigne progressivement du « modèle de soins ». Ce dernier implique qu’au cour de la formation et de la réflexion du soignant se dessine la question des interactions et des relations.
Hildegarde Peplau écrit dans son livre « les relations interpersonnelles en soins infirmiers » de 1952 « le premier soin est le soignant ». Elle réalise deux constats, le premier est que « la maladie ou le handicap constitue une expérience à laquelle la personne peut donner du sens », le second « dans une situation de dépendance à des professionnels, le discours et l’attitude de ces professionnels est l’un des éléments fondamentaux sur lesquels la personne va s’appuyer pour donner du sens à ce qu’elle vie ». Peplau incite le soignant à être attentif au patient, le reconnaitre en tant qu’humain pour instaurer une relation de soin. Elle souhaite apporter à chaque soignant « les moyens d’écouter, de comprendre sans juger, de guider sans contraindre ».
Peplau souhaite donner du sens à ce que vie la personne par la maladie ou le handicap, au travers du ressenti sur sa dépendance, du maintien de l’autonomie, au changement permanent de la maladie ou du handicap ceci interaction avec les soignants et les proches. Mais aussi par l’interprétation du comportement de la personne pas ses demandes ou ses non-demandes, et part le « maternage psychologique » inspiré des travaux du psychanalyste Winnicott.
La réflexion de Peplau s’articule autour des différents rôles du soignant tels que l’écoute, le soin, la transmission d’information, l’étayage psychique ou affectif et aider la personne à s’aider elle-même.
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