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Essai sur le coronavirus

Thèse : Essai sur le coronavirus. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Avril 2020  •  Thèse  •  751 Mots (4 Pages)  •  622 Vues

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Travail sur le Coronavirus – Viarteix Hugo

Bonjour, j’ai utiliser comme réponse un essai, je ne suis plus très familier avec ce type de développement j’espère ne pas avoir fait trop faire d’erreurs et avoir bien répondu !

Le coronavirus est un fléau, un nouveau virus qui apparaît en 2020 dans notre monde ou la mondialisation est bien installée et ou les échanges et voyages entre pays sont très fréquents. Bien qu’étant une pandémie et une nouvelle expérience pour l’humanité, cette maladie qui possède un taux de mortalité faible par rapport a beaucoup d’autres virus, nous verrons quels en sont les conséquences secondaires sur l’humanité. Nous observerons donc alors quels sont les effets d’une telle pandémie au 21ème siècle et quelles questions l’humanité doit se poser sur l’après coronavirus.

Comme dit précédemment la mortalité de ce virus est réduite par rapport à des pandémies précédente dans l’histoire de l’humanité et pourtant ce sont bien d’autres effets que le nombre de morts ou de malades qui nous met à mal. Le premier problème est de prévenir, la plupart des pays n’ont pas su anticiper une telle maladie mais cela est normal car anticipé une telle catastrophe relève du don de voyance et d’autres ont préférer mentir sur leurs chiffres pour préserver leurs fiertés. Les moyens mis en œuvre au cas ou cette pandémie pourrait apparaître sont dérisoires et ferait paraître certains pays riches comme étant des pays du tiers-monde ou les hôpitaux et les systèmes sanitaires s’effondrent dés plusieurs milliers de malades, alors imaginons quelle serait la situation dans des pays plus pauvres. L’anxiété et la psychose sont d’autres effets de la maladie, on s’imagine qu’avec un symptôme nous sommes contaminés, on se renferme dans notre confinement, s’interrogeant, mesurant les risques des pires choses possibles alimenter par les informations, la radio et les réseaux sociaux, seul moyen de se sociabiliser vers l’extérieur. Cet état de déprime est aussi alimenter par la crainte de ne pas savoir si l’on aura assez d’argent dans les mois qui suivront, si les états pourront assumer au niveau économique et alimentaire, si les études et épreuves seront possibles et pour tout autre événement important pour chacun. Enfin l’une des peines les plus lourdes et de ne pas voir certains proches, la famille et les amis ce qui reste évidemment un « déchirement » comme l’a rappeler le président de la république mais cela reste nécessaire pour autant. Il faut ajouter à tout cela l’égoïsme et le manque de civisme de beaucoup d’individus qui permettent à ce climat plus que négatif de prospérer. Dans toute cette obscurité il y a cependant des mouvements positifs comme l’entraide et la générosité, le savoir vivre de nombreuses personnes qui adoucisse le vécu de ceux qui sont en première ligne contre le virus.

L’humanité doit grandir suite à ce cataclysme mondiale sur de nombreux points. Tout d’abord au niveau de la réaction lorsque qu’un pays est toucher par un virus, comment peut t-il agir rapidement et bien sûr débloquer des fonds pour les recherches scientifiques et pour améliorer les systèmes de santé dans les hôpitaux et autres. Plus précisément notre monde avance trop vite et nous ne le protégeons pas assez, pouvons nous réduire les effets de la mondialisation ? Pouvons nous moins polluer ? moins produire ? moins exporter ? Moins consommer ? Ce sont la certaines questions ou il faudra apporter des réponses urgentes car de telles situations vont se multiplier dans le futur. Nous devons nous poser les bonnes questions sur les rapports humains et sur notre façon de vivre, car elle ne semble plus convenir ou plutôt de moins en moins. Ralentir pour mieux repartir est sûrement la solution la plus sage, pas forcément s’arrêter mais savoir courir sans tomber et sans abîmer ce qu’il y a autour de nous. C’est dans ces moments que nous pensons aux choses essentielles, que nous pouvons prendre le temps alors il faut se servir de cette lucidité retrouvée pour réajuster notre monde et mettre l’argent et les  efforts dans les bonnes choses.

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