Ecriture personnelle

Ecriture Personnelle

        Les machines ont permis un progrès considérable pour les hommes. Pour une société, le progrès est l’évolution dans le sens d’une amélioration d’un objectif ou d’un idéal et les machines ont fait progresser les hommes de diverses manières notamment en leurs faisant gagner du temps.

        Les documents ici soumis à notre analyse abordent tous ce thème, Karl Marx à travers Le Capital daté de 1872, nous expose les différents aspects des machines pour les ouvriers dans l’industrie, quant à Emile Zola, avec son roman L’assommoir de 1877, il nous décrit un aspect dans l’industrie où la machine serait supérieure et l’homme serait « tué » par la machine. L’article d’Yves Eudes Les prodiges de Sophie du 14 mars 2012, nous présente les machines étant au service de l’homme et non le contraire. Enfin, le dessin de Plantu La Découverte présente les machines et inventions comme sources de progrès mais pouvant prendre la place de l’homme.

        Les machines sont-elles au cœur du progrès des hommes ? Nous verrons que les machines et inventions des hommes amènent le progrès mais peuvent être amenées à remplacer l’homme.

        La machine permet une source de progrès, comme l’exprime Plantu à travers son dessin, les inventions humaines ont toujours permis le progrès, je prends par exemple la machine à vapeur créée par James Watt qui permit de construire en 1770 le premier véhicule automobile terrestre destiné à déplacer de lourdes charges et qui est donc un progrès incontestable comparé à la force d’un homme.

Les machines permettent de produire plus comme le montre Karl Marx avec cette idée de production de masse et Emile Zola qui poursuit en citant cette production de rivets et boulons à la chaines, voulant toujours plus de quantité en un temps record. Yves Eudes poursuit cette idée en disant que la production est accrue grâce aux robots, les machines nous libèreraient de tâches sans grands intérêts pour nous adonner à d’autres activités plus productives. Pour ma part, je pense également que les machines apportent plus de production, par exemple le travail à la chaine mis en œuvre dans l’usine automobile d’Henry Ford en 1913 et comportant des machines permettant d’accélérer la production d’automobile.

         Les machines nous aident aux quotidiens et faut partis du progrès des hommes mais peuvent-elles être assez évoluées pour remplacer l’homme ?

        Malgré que les machines facilite les hommes pour des tâches répétitives, elles sont en générales toujours dépendantes d’une présence humaine, des hommes qui deviennent asservis en complétant la machine pour des tâches qu’elles ne peuvent pas réaliser comme le dit Karl Marx « dans la fabrique, les ouvriers  sont incorporés à la machine » indépendant du travail réalisée par celle-ci. Emile Zola poursuit cette idée imaginant un monde où « l’ouvrier serait « tué » par la machine ».

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