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Ecriture d'invention.

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Par   •  1 Mars 2017  •  Guide pratique  •  627 Mots (3 Pages)  •  358 Vues

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TITRE

Nantes, août 2220, j'ouvris les yeux. Je pris une grande inspiration puis regarda ce qui m'entourai, soudain la porte s'ouvrit, un jeune garçon nommé Hugo arriva et m'apprit par la suite au cours d'une discussion que j’avais été dans le coma depuis de nombreuses années, plus précisément 200 ans. J'eu à peine le temps d'ouvrir la bouche qu'il m'attrapa par le bras et me fit descendre les escaliers, les portes s'ouvrirent et le monde qui se tenaient devant moi n'était que désastre.

Choquée, je lui demanda :

  • «  Mais, mais, où sont passé la lumière du jour, ces arbres, cette verdure, ces oiseaux ? Tout simplement où est passé la vie ? »

Il me répondit avec dégoût:

  • «  L'humanité à disparue, ils se sont tous entre-tués. Tu veux savoir la cause n'est-ce pas ? La cause est bien c'est qu'un virus inconnu à touché la population du monde entier, n'en à pas épargner un seul. Ce virus transforme peu à peu les humains en zombies cannibale.

  • «  Mais que fais-tu là alors ?
  •  «  Ce que je vais t'apprendre va sûrement te surprendre. Chaque humain portant le virus zombiale ne murmurait qu'une seule phrase, à chaque pas il murmurait cette phrase, encore et encore. »
  • «  Que disait-cette phrase ? »
  • «  Trouvez-les, trouvez-les, il n'en restera que deux. »
  • «  En conclusion, nous sommes les deux seuls survivants et immunisés contre ce virus ? »
  • «  A vrai dire, nous sommes trois, il reste un zombie, ayant été tous tués ils doit forcément en rester un. »
  • « D'accord, allons nous fuirs ou tuer ? »
  • « Tuer. »

Je ne réalisais pas encore ce qui m'arrivait, le monde était réellement dévasté, tout n'était que cendre, des cadavres gisant le sol à chaque pas. Si je voulais survivre, tuer était la meilleure solution. Il m’emmena alors dans son repaire, non loin de là, des milliers d'écrans accrochés au mur, qui filmait chaque recoin de chaque quartier, de chaque avenue, de chaque rue.

Il me dit alors :

  • «  Nous n'avons plu qu'à attendre. »

Deux semaines s'étaient écoulées.  Le temps était devenu de plus en plus long, j'étais devenue de plus en plus fatiguée, j'étais à bout de nerfs.

Hugo était devenu anormale, je me posais de plus en plus de questions à son sujet. Ses yeux étaient devenus noir, ses lèvres gercées, ses cheveux tombaient, sa voix muait horriblement, il ne mangeait plus à sa fin.

Quand soudain, je repensa à ma famille, comment à telle pu en arriver là ? Tous ces souvenirs me remontaient en tête, mon lycée, mes amis... Plus rien n'existait, tout était détruits et anéantis, il ne restait plus que moi et Hugo, dans ce si vaste monde maissivide, il ne restait que cette peur de mourir avec cette rage de survivre.

Je me rendis compte alors que je m'étais endormie, j'ouvris alors les yeux et Hugo m’annonça qu'il était l'heure de partir. Je prépara mon sac, prête à partir puis nous dévalâmes les marches du repaire, et nous marchâmes. Soudain je devançais peu à peu Hugo épuisé par les heures de garde qu'il à pu faire pendant ces deux semaines. Je continua tout en ralentissant le pas. Tout à coup je sentis que l'on me pris par la gorge, comme si l'on voulait m'étrangler. L'individu me murmura ces quelques mots à l'oreille :

...

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