Corpus: trois textes et une image du XIXe siècle: Vigny, Stendhal, Hugo, Andrieux

Aujourd’hui nous avons a traiter de trois textes et un tableau du XIX siècle , le texte A d'Alfred Vigny édité en 1826 Réflexions sur la vérité dans l'art nous raconte la réflexion d'un homme sur les guerres racontés dans les romans . Le texte B de STENDHAL La Chartreuse de Parme parut en 1839 nous raconte l'histoire d'un Italien qui voit sa ville natale assiégé par les troupes de Napoléon . Ensuite le dernier texte, le texte C nous plonge dans les Misérables de Victor HUGO ses personnages de son roman sont mêlés au bataille napoléonienne. Il nous reste a traiter du tableau de Clément-Auguste ANDRIEUX

Nous allons voir pourquoi l'auteur de La Chartreuse de Parme et des Misérables on t-ils adopte ce point de vue ? et aussi, quelle vision du roman que nous propose Vigny illustre t-il celle de STENDHAL et HUGO ?

Maintenant nous allons voir que le texte de Stendhal et de Victor Hugo se démarque du texte de Andrieux raconte un complot déjoué alors que les deux autres textes raconte l'histoire des guerres napoléonienne .

Les trois textes que nous avons a traiter (plu s le tableau) nous conte l’histoire de bataille dés début des textes on retrouve la grandeur des armées comme dans Hugo « ils étaient trois cent mille; cent six gendarmes d’élite, les chasseurs de la garde » . cette énumération montre la puissance grandiose de Napoléon . Dans son roman Stendhal opte pour un point de vue interne on perçoit les choses comme le personnage principale les perçoit « m'y voilà, j'ai vu le feu , me voici » tout ces pronoms nous montre bien que les personnages subit l'action c'est la petite différence entre ce texte et celui de Hugo qui lui adopte un point de vue omniscient car il connais tout les escadrons présent sur le champs de bataille il vit la guerre et il encense Napoléon pour le rendre puissant est fort. Le tableau semble être une représentation du texte de Hugo malgré qu'il est été fait avant les Misérables car on remarque que certain décor du tableau sont presque une copie du récit de Victor Hugo « on les apercevait a travers une vaste fumée déchiré»

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