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Commentaire d'un extrait du Chapitre 52 du roman Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas

Dissertation : Commentaire d'un extrait du Chapitre 52 du roman Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Décembre 2014  •  825 Mots (4 Pages)  •  11 144 Vues

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Le texte étudié est un extrait du chapitre 52 du roman Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas de 1844.

Alexandre Dumas est né en 1802 dans le département de l'Aisne, il est un romancier, écrivain romantique. Les Trois Mousquetaires fut une de ces plus grandes œuvres, tel que d'autre roman à succès encore actuel comme Le Compte de Monte-Cristo ou La Reine Margot. Il décède en 1870 à l'âge de 68 ans en Seine-Maritime.

Ce roman raconte les aventures d'un Gascon de 18 ans, d'Artagnan, venu a Paris pour faire carrière dans le corps des mousquetaires. Il se lie d'amitié avec Athos, Porthos et Armis, mousquetaires du roi Louis XIII. Ce roman est l’exemple type du roman de cape et d’épée. Les trois quarts de l'extrait son portés sur la comparaison entre l'homme et la femme, c'est donc ce qui va être dévelppé ci-dessous.

Dans cet extrait il est observé une dévalorisation de la femme par rapport à l'homme commençant avec une comparaison: «toutes entreprises que peut mener à bout un homme patient et fort mais devant lesquelles doivent échouer les irritation fébriles d'une femme» (l.9)

Tout d'abord la représentation des femmes dans cet extrait.

En tant que femme Milady sais qu'elle ne peut pas arriver à ses fins car les entreprises qu'elle veut mener sont de celles devant lesquelles «doivent échouer les irritations fébriles d'une femme» (l.10). Les femmes sont donc considérées comme faible physiquement dès leur naissance, «corps frêle et délicat» (l.14), «faiblesse féminine à la nature» (l.16). Milady savait que si elle eu été un homme tout aurait était bien plus facile et elle eu vraiment souhaiter «si elle était un homme, elle tenterais tout cela […] pourquoi le ciel s'était-il ainsi trompé, en mettant cette âme virile dans ce corps frêle et délicat» (l.13) .Lorsque elle commence sa réflexion dans un premier paragraphe commençant par «Allons» ainsi que dans le second qui créé une anaphore (l.19) qui fait passer du présent de narration au discours direct, elle présente la violence comme une faiblesse «la violence est preuve de faiblesse» (l.21) (tout au contraire des hommes) ce qui paraît comme excuse quand on suis plus loin sa réflexion «je n'ai jamais réussi par ce moyen: peut être si j'usais de ma violence contre des femmes, aurais-je chance de trouver plus faible que moi» (l.21-22) Elle sais tout simplement que contre des hommes sa force physique ne vaux rien.

Mais elles sont également faible mentalement, elles ne savent pas réagir avec calme et ne contrôle pas psychiquement, «sa folle colère» (l.17) «les frémissement nerveux» (l.17).Et quand elles finissent par apaiser leur esprits, elle ne parviennent pas non plus réfléchir avec profondeur. Dans le second moment de réflexion de Milady, elle est très superficielle, elle vient de se rendre compte après de moments de panique qu'elle ne pourrait finalement pas s'en sortir, qu'elle allait mourir et tout ce qui lui reste est sa beauté «Allons, rien n'est perdu, je suis toujours belle» (l.30). Le seul pouvoir qu'elle possède en tant que femme avec lequel elle peut lutter est sa faiblesse, dans cette antithèse: «luttons en femme, ma force est dans ma faiblesse»

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