Chat Noir

PLAN :

IP1 :

D’une part, tous les évènements surnaturels découlent du chat.

Is1 :

En effet, dès le début de la nouvelle, le narrateur amène une description surnaturelle de son chat noir en précisant que sa femme avait fait de nombreuses allusions à une ancienne croyance sur les chats noirs : « ma femme faisait de fréquentes allusions à l’ancienne croyance populaire qui regardait tous les chats noirs comme des sorcières déguisées. »(p.34)

Procédé : comparaison

Chats qui signifie Mammifère carnivore domestique,

Sorcières qui signifie quelqu’un qui fait de la sorcellerie

Effet :

Le fait de comparer le chat noir à des sorcières permet au lecteur de se préparer à quelque chose d’anormal, qui va se passer tout au long de l’histoire. Tout était réaliste jusqu’au moment au le narrateur introduit ce passage afin que les lecteurs aillent une idée qu’il pourrait se passer quelque chose de surnaturel en lien avec le chat. Il tente de se convaincre que sa femme n’était pas sérieuse lorsqu’elle faisait allusion aux superstitions reliées au chat noir. Le lecteur peut comprendre au fur et à mesure que le texte avance que le chat noir possède des pouvoirs surnaturels puisqu’il résiste, pendant un certain temps, a le mal traité. Ses autres animaux domestiques n’ont pas eu le même sort.

Is2 : De plus, malgré la mort atroce de son chat le lecteur comprend que le chat continu toujours à le hanter puisque lors de l’incendie de sa maison il s’imagine une image d’un chat pendu : « (…) la figure d’un gigantesque chat. L’image était rendue avec une exactitude vraiment merveilleuse. Il y avait une corde autour du cou de l’animal. » (p.37)

Procédé : Métaphore entre son crime commis et l’image du chat apparue suite à l’incendie.

Effet :

Ce procédé amène au lecteur une image qui nous ramène au crime qu’il a commis à l’égard de son chat. Celui-ci pourrait croire que le chat avait un lien avec l’incendie de sa maison. L’esprit du chat continu à le hanter malgré les ravages qui ont été causés par l’incendie en lui rappelant ses actes commis représentés par une figure sculptée.

Is2 : De plus, le narrateur fait souvent part du démon qu’il l’envahit et qui le contrôle. La définition de démon vient nous informer plus sur ce qui se passe chez le narrateur : « être mythique, révolté contre Dieu, qui incite les humains à faire le mal. » (Dict.) Le narrateur n’a plus de contrôle sur sont être : « Une fureur de démon s’empara soudainement de moi (…) Mon âme originelle sembla tout d’un coup s’envoler de mon corps, et une méchanceté hyperdiabolique, saturée de gin, pénétra chaque fibre de mon être. » (p.35)

Procédé : Métaphore établit entre « âmes » : « principe spirituel, de vie et de pensée, conçue comme immortel, dissocié du corps de l’être humain. » (Dict.)

« Envoler » : « monter, se disperser dans l’air. » (dict.)

« Corps » : « partie matérielle d’un être animé »

Effet :

Cette métaphore permet de nous créer une image de l’âme qui s’envole de son corps. Elle permet, au lecteur, de comprendre que le narrateur n’a plus aucun contrôle sur lui même puisqu’il n’est pas maître de ses agissements. Pour lui, le démon a pris possession de son être et celui commande ses gestes.

IP2 : D’autre part, lorsque le narrateur apporte des explications concernant les phénomènes surnaturels survenus, il amène le lecteur dans le doute entre une explication rationnelle ou une explication surnaturelle. En effet,

IS1 :

IP2 :

D’autre

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