Analyse De La Fin Le Chef D'oeuvre Inconnu de Balzac

Introduction :

L'extrait que nous étudions s'introduit par « Les deux peintres laisseront le vieillard à son extase » jusqu'à la fin de l'oeuvre.

Il est tiré du célèbre roman de Balzac « Le Chef d'Oeuvre inconnu » paru la première fois en 1831 puis enrichie et republié en 1837.

Honoré de Balzac (1799-1850) est un romancier et journaliste dont les 91 romans et nouvelles comptent parmi les plus imposants de la littérature française.

« Le Chef d'Oeuvre Inconnu » est une nouvelle basée sur la réflexion de l'art à travers des débats entre trois personnages principaux du XVIIeme siècle appelé Nicolas Poussin, Porbus et Frenhoffer.

Cet extrait est située à la fin de la nouvelle et relate donc le fait que Frenhoffer brule tous ses travaux qui constituent sa vie entière avant de se donner lui-même la mort.

Le texte pose donc cette problématique :

Comment l'auteur s'y prend-t-il pour démontrer l'incapacité de Frenhoffer à atteindre la perfection lors de la création de son œuvre finale ?

Et ses 2 axes :

La vision des autres personnages principaux

Rédaction de l'axe n°1: La vision du peintre au moment ou tous ses efforts se traduisent par un echec.

Frenhoffer, un célèbre peintre, vient juste de terminer sa peinture qu'il a mis tant d'années à étoffer. C'est le grand jour, son œuvre est désormais terminée.

Tellement fière, il décide de la montrer à ses deux amis, étant eux-aussi deux artistes talentueux, et c'est la stupéfaction. Sur cette grande toile est présente un pied... C'est un echec pour le tant réputé Frenhoffer, une œuvre donc laquelle il était tellement fiere, qu'il avait pris toute une vie à réaliser, avec un tel engouement.

Frenhoffer sombre dans son malheur...

Dans ce passage, nous pouvons identifier le champs lexical de la peinture, omniprésent dans l'oeuvre mais présent de deux facons différentes, d'un coté mélioratif et de l'autre péjoratif :

Melioratif : « chevalets » ; « pinceaux » ; « toile » ; « pinceaux » ; « tons » etc...

Pejoratif : « Chaos de couleurs » ; « brouillard sans forme »

Ses expressions péjoratives laissent donc penser qu'elles sont reliées à l'echec de Frenhoffer.

Mais pourquoi ce tableau s'est finalement soldé par un echec ?

Frenhoffer désirait tellement peindre l'oeuvre parfaite, il le désirait plus que tout, il a donc étoffer sa toile encore et encore qu'au final on ne voyait qu'un pied, une partie si insignifiante.

Frenhoffer, dans un premier temps, refuser d'y croire, c'est pourquoi il cite « Un pied vivant ! »

Nous pouvons voir que Balzac s'applique à décrire, avec énormément de détails, le tableau d'une façon

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