Etude d'un roman concernant la guerre de 1914-1918.
Lettre type : Etude d'un roman concernant la guerre de 1914-1918.. Recherche parmi 299 000+ dissertationsPar dissertation • 18 Décembre 2013 • Lettre type • 610 Mots (3 Pages) • 804 Vues
La chambre des Officiers, Marc Dugain
Lieux : PARIS ( VAL-DE-GRÂCE)
Epoque: Guerre 1914-1918 .
Début de l’histoire = Début de la guerre
Durée de l’histoire= Jusqu’à la fin de la guerre
Personnages: Adrien _ Ingénieur des arts; vit en dordogne ( en province ) ; Son père est mort mais il lui reste sa mère et ses deux soeurs. Son meilleur amis s’apellent Bonnard et son amour d’un Soir : Clémence , elle va jouer une rôle important dans le moral du personnage principal : Adrien.
2. ÉTUDE DES PERSONNAGES
Adrien Fournier
Le narrateur du roman est un jeune homme de 24 ans, ingénieur des Arts et Métiers, incorporé dans l’armée comme
lieutenant. Clémence dit qu’il a un « visage parfait » (p. 61). Il a passé une enfance heureuse dans le Périgord et évoque
souvent les souvenirs de cette période. Il travaille à Paris, où il a un appartement.
Rien ne le prépare à la guerre. Épicurien et proche de la terre, il se dit « défenseur des valeurs païennes et en particulier
de la cueillette des cèpes à la saison des châtaignes » (p. 15), et définit Dieu comme « un petit bonhomme sans queue »
(Ibid.). Il vit la mobilisation dans une sorte d’inconscience, renforcée par sa rencontre avec Clémence. Son arrivée au
front lui évoque « un temps de rentrée des classes, beau et chaud » (p. 21). Il faudra qu’il assiste à la mort d’un homme de
sa section pour qu’il admette que « la rentrée des classes est terminée » (p. 26).
Il adopte tout au long du récit une certaine distance face aux évènements, regrettant simplement avec ironie cette
« défaite sans combat » (p. 42) et l’absurdité de sa blessure aux premiers jours de la guerre qui le prive d’histoires épiques
à raconter par la suite.
Sa claustration à l’hôpital développe chez lui la réflexion, l’entraide et, paradoxalement, puisqu’il ne peut plus parler, le
sens de la communication.
Henri de Penanster
Aristocrate breton et capitaine de cavalerie blessé dans l’Argonne. Profondément croyant, il passe une partie de son
hospitalisation à sculpter une Vierge de bois. Ses camarades vantent sa distinction.
Pierre Weil
Aviateur juif gravement brulé dans l’attaque de son appareil par l’ennemi. Il arrive chez « les esquintés de la trogne »
(p. 43) en même temps que Penanster. Plus extraverti que ce dernier, énergique et bon vivant, il amuse souvent les
autres par son humour
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