Fiche de lecture - Lettre sur la tolérance, John Locke
Fiche de lecture : Fiche de lecture - Lettre sur la tolérance, John Locke. Recherche parmi 303 000+ dissertationsPar sae.sae • 2 Novembre 2025 • Fiche de lecture • 611 Mots (3 Pages) • 17 Vues
Références complètes : John Locke, Lettre sur la tolérance, Traduction française de Jean Le Clerc (PDF), 1710
Genre de l’ouvrage : Essai philosophique
Thèses : John Locke dans cet essai donne son opinion sur la tolérance que les croyants doivent avoir à l’égard d’autres
croyants, la tolérance des croyants envers les athées, et celle des magistrats envers le peuple dans son entier,
notamment en ce qui concerne l’exécution des lois « civils » comme il les appelle et l’exécution des Ecritures Saintes.
Il critique particulièrement les ecclésiastiques qui torturent, contraignent, dépossèdent certains de leurs biens, voire
donnent la mort à ceux qu’ils considèrent comme égarés et éloignés de la religion. Il souligne qu’il n’est pas n’est pas
conforme à la religion chrétienne, et plus largement au principe fondamental de la foi que de contraindre quelqu’un à
adopter certaines pratiques ou croyances quand celui-ci ne les n’y adhère pas de bon cœur, dès qu’il n’est pas
convaincu que cela est agréable à Dieu, et lui assurera son salut.
Problème : Cet essai met en lumière plusieurs questionnements, mais la problématique principale qu’il dénonce c’est
celle c’est l’implication des magistrats dans les affaires qui ne devraient pas relever de sa compétence, à savoir dans
les affaires religieuses., particulièrement quand la diversité des religions présente au XVIIe est de plus en plus notable.
Il s’agit de de promouvoir la liberté de conscience et la tolérance des uns des autres sans distinction de religion et de
croyance.
Enjeux : John Locke défend que les chefs religieux et ceux qui se disent successeurs des apôtres ne devraient pas
maltraites et s’en prendre aux croyants qui paraissaient selon eux égarées et aux athées qui ne suivent pas la religion
selon ce qu’eux considère conforme aux écritures saintes. La nécessaire limite des compétences des magistrats
illustration du pouvoir législatif qui devrait se limitaient à ce qui relèvent du pouvoir temporel. Cela a pour
conséquences de promouvoir une société plus libre sans entraver et compromettre la pensée, la liberté et la foi des
gens qui souhaitent poursuivre leur religion et atteindre leur salut par leur propre chemin. Il s’agit de plus de chercher
à éclairer les esprits sur les dangers de laisser de tels pratiques perdurer, avec une volonté d’éviter les dérives
autoritaires.
Arguments : Les éléments pouvant servir d’argument à cette thèse peuvent
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