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Kant et Bentham, L’éthique animale

Résumé : Kant et Bentham, L’éthique animale. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  12 Avril 2023  •  Résumé  •  645 Mots (3 Pages)  •  159 Vues

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L’éthique animale est une branche de la philosophie morale qui réfléchit à nos devoirs envers les autres animaux considérés en tant qu’individus.

- Bentham : « peuvent-ils souffrir ? »

- Souffrance des animaux & souffrance pour les humains → mauvaises.

- Cruauté d’une action ne doit être mesurée que par la quantité de douleur qu’elle provoque.

- Comparer la quantité de douleur créée chez les animaux (en fonction du nombre des animaux impliqués) avec la quantité de plaisir créée chez les humains.

- Ne doit pas infliger aux animaux des souffrances inutiles & souffrances non nécessaires, animaux pourvus d’une sensibilité, capacité de ressentir le plaisir et la douleur

- « faut-il prendre en compte le bonheur animal au même titre que le bonheur humain? »

- sensations de plaisir et de douleur des animaux doivent être prise en compte = celles des hommes

- souffrance doit être minimisée.

- schéma utilitariste : manger un cochon, plaisir est maximisé, car ce plaisir est + grand que souffrance du cochon tué pour être mangé.

- souffrance est inférieure à celle de l’utilité que l’homme en tire, car animal ne ressentira pas la peur d’être tué et car la mort infligée par nous est - douloureuse que celle dans la nature.

- cependant, pour notre défense, tuer est ok, car souffrance est nulle alors que la nôtre sera + ou – élevée

- toute souffrance doit maximiser la quantité de plaisir; voir point 7 (interdit).

- statut moral : faculté de raisonner et de communiquer pour être satisfaisant

- peut manger ou tuer les animaux pour nous défendre (principe utilitariste) à la maximisation de la quantité générale de bonheur

Kant

Toute souffrance est considérée comme étant mauvaise en elle-même (absolument mauvaise). Avancées de la science ne sont pas des raisons acceptables pour faire souffrir des animaux. Pas besoin d’élaborer à l’aide d’un calcul d’utilité puisque la souffrance animale pèse plus lourd que toute autre conséquence.

Valeur de la douleur est considérée en termes relatifs : - élimine toute souffrance non nécessaire; - élimine prob. toute expérimentation au profit de l’industrie des cosmétiques.

« Les animaux sont des êtres sensibles qui agissent selon des représentations et ne sont pas des machines. » - Kant, Critique de la faculté de juger.

« l’homme est devenu civilisé par son arrachement à la nature. De ce fait, le propre de l’homme reposerait sur la possession d’une culture, d’un langage, d’une technique » dont l’animal ne peut se prévaloir. – Kant, Pour une communauté humaine et animale

« n’a droit à aucune considération morale […], n’a pas de valeur intrinsèque et ne peut être considéré comme une personne ».

« il faut bien faire une différence entre la protection des animaux

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