L'être humain est-il réellement libre ?

Depuis des siècles, l’être humain s’est battu pour sa liberté. Quelque cela soit les croyances de chaque personne, l’esclavage était présent, ainsi qu’une victoire amenant à la liberté aussi. L’autonomie ainsi que le pouvoir de prendre des décisions par soi-même, donne à l’être humain un pouvoir démesuré sur les choix qu’il fait. Lorsqu’on décide de réaliser des actes en utilisant notre raisonnement complet sans aucune intervention étrangère, on pratique la liberté. Mais est-ce que l’être humain est-t-il vraiment libre? Selon Sigmund Freud, l’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue? Il est vrai de dire que selon Freud l’être humain est limité par son inconscient mais aussi il est libre de faire ses choix.

Au cours du 19e siècle, il a eu place la révolution industrielle, un processus assez important pour l’humanité, mais particulièrement pour l’homme. Il commence à travailler dans des conditions misérables et surtout dans une ambiance où ses droits comme être humain étaient inexistants. Malgré le fait que l’homme était « libre » sa capacité de produire, d’échanger et de consommer était limitée et surtout déterminait leur façon de penser et d’approcher la réalité. En dépit du fait que l’homme était capable de se trouver un travail et, d’une certaine façon, « produire » économiquement, il y avait un autre échelon à surmonter : la lutte des classes. Pendant le même siècle, on retrouve Sigmund Freud, un médecin qui amène comme cause des problèmes ou maladies l’inconscient mais que pour la médicine traditionnelle ceci était inacceptable. Dans ce temps-là, tous les problèmes liés au comportement étaient reliés à une cause pathologique physique, alors il était presqu’impossible de faire accepter le concept d’inconscient auprès de l’intelligentsia. Ils cherchaient des symptômes pathologiques avec une explication logique, concrète et observable. Freud est particulièrement intéressé par les cas d’hystérie, et il assume que les causes de ceci peuvent être gardés et qu’il ne suffit que de les ranimer au niveau de la conscience amenant comme effet, dans le meilleur des cas, la guérison du patient.

La pensée de Freud repose sur quelques éléments. Il croit fermement à l’inconscient. L’inconscient est défini « le domaine des pulsions refoulées ». Il affirme la présence du « Ça », du « moi » et du « surmoi ». Le « Ça » est la responsable des pulsions et d’obéir au plaisir. Il cherche également à combler les besoins primaires et les désirs instinctuels. Dernière le « Ça » on retrouve les pulsions. On parle d’une énergie qui motive l’homme vers un objectif qu’il veut atteindre peu importe le prix. Cette pulsion peut être aussi appelée « la libido ». En deuxième lieu, on retrouve le « Moi ». Son rôle est de devenir la dimension rationnelle de la personnalité. Son objectif est de régulariser les désir du «Ça » et des trier les pulsions qui doivent être satisfaites ou non. En troisième lieu, il y a le surmoi. Il représente la voix morale de l’indivu. Il joue le rôle d’observateur afin de maitriser le « Ça ». Le surmoi montre ainsi toutes les contraintes morales et dit que les désirs ne doivent pas être satisfaits. En quatrième lieu, Freud pense au refoulement. Ceci est un processus qui a lieu dans l’inconscient lorsqu’il y

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