LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Seconde Guerre Mondiale

Dissertation : Seconde Guerre Mondiale. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Mai 2013  •  1 059 Mots (5 Pages)  •  908 Vues

Page 1 sur 5

Visite guidée du site du Vieil-Armand ou Hartmannswillerkopf (Vendredi 3 mai 2013).

Rédiger le Vendredi 10 mai 2013 à 1h03.

1. Information générales.

Le site est stratégique, étant donner qu'il domine la plaine d'Alsace. Les soldats pouvaient surveiller le trafic dans la plaine du haut de son sommet. Les Français qu'en a eu pilonnaient certaines positions Allemandes ainsi que la ligne de chemin de fer Mulhouse-Colmar, soit la voie principale de ravitaillement de l'ensemble du front des Vosges.

La bataille a commencer au printemps 1915 et s'est arrêter le 1er novembre 1918. Le bilan de cette bataille est 12001 soldats français tombés sous les attaques allemandes, ainsi que 15000 soldats allemands tombés sous les attaques françaises, le résultat de ce nombres affolant de mort est du a l'envoie régulier de troupes ou section au front, notamment la jeunesse qui s'est fait massacrer lors de cette affront. De plus, prenons comme exemple les soldats français, sur 1640 d'entre eux, 1256 ont pu être identifiés, mais 364 reste encore à ce jour inconnus. Cette guerre dite de « Brutalisation », soit une guerre industrielle, qui a effacé toutes traces d'humanité au sein de la société et des soldats, si ceux-ci n'ont pu être identifiés, cela est du a la violence des combats qui n'avait jamais été égalé auparavant, en effet les soldats survivants sont marqués a vie par des cicatrices autant physiques que psychologiques (démembrés, « gueules cassées », la peur du survivant).

2. Découverte du champ de bataille.

Les tranchées françaises étaient situé au pied du sommet et dans la forêt, elles formaient une sorte d’œuf. Tandis que celle des allemands se situaient plus au hauteur et au sommet des Vosges, grâce a cela ils n'avaient plus qu'à placer des tireurs et attendre l'arrivée des français. Seulement 22 mètres séparait les opposants. Du côté allemand, des bunkers surplombent les hauteurs du sommet, tous reliés entre eux par des tranchées. L'agencement du côté allemand est beaucoup plus complexe et solide, grâce au pierres, béton et renfort qui évitent l'écoulement de boue. Ce qui n'était point le cas du côté français. Les traces restantes nous montrent les conditions dans lesquelles les soldats vivaient, le froid, l'humidité des tranchées, la terre, les trous dans lesquels ils dormaient, ou se cachaient lorsque le temps était défavorable. Les éclat d'obus, les tirs, la terre qui volent et les corps qui se déchirent. Les nombreux extraits de lettre rédigés par les soldats confirment la dureté de la vie quotidienne, les corps gisant sur le sol sans sépulture. La haine que chacun ressent, se transforme en joie lorsqu'ils tuent un ennemis, le mal fait devient banale, les hommes ne sont plus des hommes, l'encrage de cette attitude renforce encore plus le phénomène de déshumanisation.

3. Qu'est-ce qu'un lieu de mémoire ? Pourquoi préserver ce champ de bataille ?

Le mémorial à été construit entre 1924 et 1929 avec la participation de nombreuses grandes villes comme Paris, Lyon, Marseille, Strasbourg. Il a été inaugurer en 1932 par le Président Lebrun, il comprend le grand cimetière national, la crypte et l'exposition d'objets provenant du champ de bataille, ainsi qu'un ossuaire gardé par deux cariatides conçues

...

Télécharger au format  txt (6.7 Kb)   pdf (88 Kb)   docx (10.8 Kb)  
Voir 4 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com