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Commentaire littéraire, acte I, Scène 1 de Cendrillon, J.Pommerat

Dissertation : Commentaire littéraire, acte I, Scène 1 de Cendrillon, J.Pommerat. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  31 Octobre 2019  •  Dissertation  •  466 Mots (2 Pages)  •  4 749 Vues

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DM Commentaire Littéraire

J.Pommerat, Cendrillon, 2012

L’auteur de l’oeuvre que nous allons étudier est Joël Pommerat. Il est un auteur et metteur en scène français. Il détient la particularité d’être un dramaturge du XXIe siècle. En effet l’oeuvre de Cendrillon, dont il est l’auteur, et que nous allons ensuite étudier, a été écrite en 2012, et fait ainsi parti du mouvement de l’existentialisme.

L’oeuvre de J.Pommerat est inspiré du compte de fée populaire qu’est l’histoire de Cendrillon. Il nous raconte l’histoire d’une aimable fille devenue la bonne à tout faire de son indigne beau-père. Le texte en question que nous allons étudier est la scène 2 de l’acte I. Dans la précédente scène, la narratrice nous expliquait l’importance des mots, et nous donne un exemple avec cette scène, où règne l’incompréhension entre une jeune fille et sa mère mourante.

Nous allons alors nous demander en quoi les mots doivent être biens choisis et compris, ainsi que comment évolue l’écriture du théâtre.

Pour ce faire, nous étudierons dans un premier temps l’incompréhension qui règne dans cette pièce, puis la construction de ce texte du XXIe siècle

I. L’(in)compréhension

1. Situation des personnages

2. L’incompréhension entre la mère et la fille

Sandra, cette « très jeune fille » assiste à la mort de sa mère, mais est trop jeune pour s’en rendre compte. En effet la fillette ne comprend pas très bien les paroles de sa mère mais fais comme si elle avait très bien compris, ce qui amène à un enchainement de quiproquos. En effet, comme nous précisent les didascalies en utilisant l’adjectif « faible » (l.6), la mère ne peut guère parler. Par conséquent, la fille qui n’entend pas, utilise un conditionnel présent avec le verbe « faudrait » (.11) et lui demande de parler plus fort. Ici commence les quiproquos. La jeune fille confond alors les verbes « mourir » (l.18) et « dormir » (l.20). Ainsi que les mots « aller » (l.21) et « fatiguée » (l.22); « toujours » (l.24) et « le jour » (l.25). L’auteur n’a pas manqué de faire rimer tous ces mots afin que la confusion paraisse crédible.

3. L’importance des mots

II. Construction du texte

1. Présence d’une narratrice

2. Procédés propres aux contes de fées

3. Mise en page

Nous pouvons alors dire que le choix et la compréhension des mots à une grande importance. Ceux-ci sont la clef de la cohérence d’un texte, où ici d’une scène. Ceci dit, dans l’oeuvre de Pommerat, ce quiproquo est voulu. Aussi cette forme théâtrale n’est pas inné mais fait partie de l’évolution de la dramaturgie comme nous l’avons pu étudier. Ainsi nous pouvons conclure sur le fait que le théâtre est basé sur la compréhension de l’oeuvre et ainsi le choix de ces mots, même si il est en constante évolution.

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