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Themis

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Par   •  21 Octobre 2015  •  Cours  •  1 587 Mots (7 Pages)  •  687 Vues

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Thémis est une déesse qui convoque ou dissous les assemblées

Le verbe grec signifiant posé, convoquer a la même racine que Thémis. De ce fait thémis à un sens spatial, matériel fort.

La philosophie n’est pas nait seul, au 5 ème siècle est apparu une forme de rationalité neuve, cependant nous nous sommes rendu compte qu’il y avait une origine religieuse et politique de ces concepts.

Par ailleurs, thémis est une notion faisant appel à une divinité, ayant donc une notion de religion, mais  non pas dans son absolu, car pour Rudhart = Thémis = est le besoin de justice, « ce n’est pas la loi c’est la cause de la loi », ainsi ce n’est pas une notion divinisé mais un besoin de justice.

De meme, Thémis comme concept à un double problème : pas assez juridique et pas assez politique.

  • La thémis est liée à deux choses,  à la famille et la justice, s’est une force tirée des dieux. Cependant, il y a un aspect négatif, le fait qu’elle se trouve imposé aux hommes qui n’ont pas la main dessus.

  • La thémis n’est pas politique car n’est pas décidée par les politiques mais par les dieux qui se trouvent à l’extérieur. Et la bonne manière de donner des lois et quelles soient donné par des personnes extérieur, en effet, platon proposant des lois pour la sicille.

Nous trouvons ensuite la notion de thésmois, ayant pour but de passer de la notion archaïque de thémis à la notion de nomos. Les thésmois sont des lois politique posées de manière créatrices établit pour durer. Mais là encore nous avons l’idée de poser, matérialisé de façon satisfaisant.

Ce couple thémis thésmos vont être présent jusqu’à la période préclassique ; 508 avt JC, avant Clisthène, (réforme de Clisthène = réduction de pouvoirs de l’aristocratie et la division d’athéne en deme, mais également premier à avoir imposé une vision démocratique = l’isonomie = l’idée selon laquelle tous les citoyens sont égaux sous les mêmes lois qui se sont données eux même ; apparait ainsi la victoire du nomos grâce à l’émergence de cette égalité. Et c’est cette émergence qui démontre le changement et l’implantation de la démocratie.

Ainsi quand le nomos vient s’implanter et signifie lois, une nouvelle organisation politique se crée. Par conséquent, le nomos indique la transformation de la loi avec le politique et non plus avec la thémis la fusion de la loi avec la religion. Ainsi le nomos à pour destinataire la collectivité, c’est la loi qu’on l’on s’est donné à tous.

De ce fait, plus il y a de politique, plus il y aura de lois car le nomos lie les deux ; engendrant la participation des citoyens à cette politique car nous nous sommes donnés la loi mais également grâce à l‘écriture et à sa diffusion. ainsi l’écriture est un progrès mais servant la politique, le faible et le pauvre qui jouissent des mêmes droit et ceci grâce à l’isonomie.

b) nomos au sens social, laicité :

Avec le nomos, la collectivité prend en charge la fixation des mœurs, et on parle de laïcisation, système dans lequel la règle juridique est moins teinté de religions, on passe à de la force religieuse à la spécificité du droit.

Par conséquent on passe d’un nomos qui se laïcise, qui renvoie et signifie aux mœurs de la société.  

Les mœurs aujourd’hui ne sont pas les mêmes que sous la société grec qui avaient la même morale et appliqué les mêmes règles = « la belle homogénéité de l’ehique des cités grec » (hegel). Car avant tout le monde avait les mêmes mœurs, « la belle unité athénienne » ce qui rendaient plus facile les châtiments. Aujourd’hui il y a un pluralisme moral et une morale positive extrêmement poussée aux états unis.

La cité grec sera souvent regardé et admiré car il y a une moeur collective sanctionnée.

Le nomos renvoie donc à la morale, c’est une autre facette de cette notion que la loi.

Alors qu’Aujourd’hui, on essaye de produire une législation neutre, sans moral ; de distinguer le droit et la morale ; alors qu’il y a rien de tel à Athènes.

Enfin nomos est la loi qui exprime les mœurs et non pas les mœurs eux-mêmes, ainsi il y a progrès  car on vient mettre ces regles dans un cadre juridique. De ce fait, ceci vient changer la société là rendant mois traditionnelle.

Quand il y a une diffusion du droit ceci vient changer le rapport aux mœurs.

Face au nomos, le thesmos tend à mourir car il imposé des lois extérieurs, en effet car le nomos est la loi que nous nous sommes donnés à nous meme.

C’est la décision du peuple assemblé prescrivant ce qu’il faut faire et ce qu’il faut éviter (xénophon)

La loi n’a d’autre force que celle de l’habitude ( aristote)

= ainsi le nomos renvoi l’habitude.

Le nomos prévaut sur dessignification = est c’est la norme sociale laicisé et juricisé.

C)  nomos et autonomie

Isonomie= la règle d’égalité au sens de la démocratie

Le nomos va apparaitre dans le terme d’autonomie, cette autonomie veut dire ce donner la règle à sois même.

La société via le nomos, se donne des règles à sois meme.

Dans saint paul, il y avait déjà cette idée car  il est dit que les paiens se donner a la loi du christ mais une loi à eux meme

Emmanuel kant estime lui que l’autonomie est le caractére distinctif de l’homme, car il se donne des règles à lui-même  = il est rationnel car il se donne une morale sous forme de loi.

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