Histoire des dîmes

Les fruits décimables (soumis dîme) étaient les récoltes. A l’exclusion de tout ce qu'on appelle fruits civils (loyers, émoluments, salaires). Parmi les récoltes les céréales fessaient parties des fruits universellement décimables.

Également des régles strictes pour le vin.

Ensuite il y avait une diversité très grande quant aux différentes dîmes

- les grosses dimes (blé vin)

les dimes menues (légumes, chanvre, lin)

dimes de carnages (animaux, brebis porcs)

dimes anciennes (terres tjrs cultivés de mémoire d'hommes)

dimes novales (terres nouvellement cultivées)

dimes solites (depuis toujours) qui s'opposent :

dimes insolites (dates plus recentes)

dimes de droit (tjrs dus ^m si pas perçu pdnt qql temps)

dimes d'usage (possession de 40ans justifié leurs existence)

Le pouvoir a parfois réglementé la perception des dimes. Ex : 1759 attribue les dimes novales tjrs aux curés a l'exclusion des gros décimateurs.

1768 : augmente portions congrus pour gros décimateurs

1657 : interdit que changement cultures puissent nuire décimateurs, cette déclaration ne fut pas appliquée puisqu'il devenait difficile de maintenir un taux identique sur des cultures différentes.

Contrairement a son nom, la dime était loin d'étre le 10eme des fruits sur lesquels elle était perçue.

En réalité, le taux varié selon les lieux, selon les cultures et même selon les années d'une même culture.

Dans certaine région, comme sud-ouest, le taux était généralement assez élevé (jusqu'au 8eme).

Écart différents entre paroisses dans même régions (du 5eme jusqu’au 36eme).

On estime un taux moyen de 13eme.

Dîme crée pour subvenir besoin du frais du culte dans chaque paroisse mais certains monastères ont gardés la dîmes pour eux. Certaines dîmes ont même étaient inféodé a des seigneurs laïques qui détournés donc de l'argent qui devait revenir patrimoine Eglise.

Pour toutes ces raison, la dimes est un des impôts les + impopulaire, surtout lorsqu'il n'est pas perçu directement par le curé de la paroisse. Ce qui augmente encore ce sentiment d’injuste est son mode de perception. Le mode le plus courant : l'affermage.

Bien souvent ces fermiers (qui allaient sur le terrains) prélevés plus que ce qu'ils auraient dut et garder le surplus pour eux.

Dans la majeure partie des cahier de doléance, la suppression dimes n'est pas imaginer, mais plutôt un allégement de celle ci.

Les économistes du 18eme, très hostiles a la dîme car ils estimaient qu'ils pouvaient trouvé a meilleur compte de quoi subvenir au service public.

Montant

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