Conférence de Wannsee

Les deux documents présents traite sur l’anéantissement des slaves par les nazis sous le règne du IIIe Reich, nous établirons en quoi il nous monte l’aboutissement de la politique de la discrimination des juifs par les nazis. Le premier document est un extrait du protocole secret de la Conférence de Wannsee, le 20 janvier 1942 et le second document est un témoignage personnel du commandant d’Auschwitz, Rudolf Höss. Les deux documents se complètent, l’un nous conduit à une explication codée de la future extermination industrielle qui s’étendra des juifs aux tsiganes, et l’autre constitue un aveu sur les atrocités dont les nazis ont fait preuve en vers la population slave et d’une autojustification de l’action menée. Premièrement, dans le cadre de l’histoire de la déshumanisation total des juifs et des tsiganes, nous savons d’après nos connaissances que la violence nazi est apparu à l’arrivée au pouvoir d’Hitler en 1933, c’est à partir de ce moment-là que la hiérarchie s’établie entre les races. Au début de ce conflit, comme nous le démontre la Conférence de Wannsee et le commandant Rudolf Höss, le principal objectif était seulement l’expulsion des juifs où nous pouvons dire qu’ils avaient un traitement autant semblable aux traitements d’animaux en abattoir : ils servaient de main d’œuvre jusqu’à l’épuisement totale physique, ils étaient par la même occasion soumis à la malnutrition, aux mauvais traitements ainsi qu’aux humiliations quotidienne. L'extermination des Juifs durant la Seconde Guerre mondiale se distingue par son caractère dit industriel avec des humiliations systématiques dû à l’aryanisation qui la rend unique dans l'histoire de l'humanité. Pour la première fois dans le monde une population se voit éliminer radicalement alors qu’il ne représenter aucun danger pour la société que ce soit militaire ou bien même religieux. Les femmes, les enfants et les personnes âgées ou en difficulté physique ou psychologique furent tout aussi traqués et voués à la mort, les hommes adultes servaient, eux, à la main-d’œuvre quotidienne. L'extermination des Juifs par les nazis nous montres aussi un faits conséquent dans l’histoire de la destruction d'une part considérable de leur patrimoine culturel ou religieux. Les actes qui furent perpétré sur l’ordre d’Adolf Hitler, où nous pouvons déceler que le crime a principalement été mis en œuvre par la SS et le RSHA, ainsi que pas mal d’alliés à la clé. Il a de même bénéficié de complicités individuelles et collectives dans toute l’Europe, notamment grâce à « la Shoah » –en hébreux– ou « Solution finale à la question juive » au sein des mouvements collaborationnistes d’inspiration fasciste ou nazie, et de la part de gouvernements ou d’administrations ayant fait le choix de la collaboration d'État. L'ignorance du début ainsi que les passivités indifférentes ou lâches de beaucoup d’entre eux ont aussi indirectement aidé à son accomplissement et aux développements du protocole.

La Conférence de Wannsee est donc charger de panifier ce qu’ils appellent avec euphémisme le protocole de la « solution finale ». Heydrich, chef de la sécurité du Reich explique méthodiquement de façon dissimulé et brièvement la réalité d’un futur génocide, à ceux qui ne pourraient le concevoir, dans sa destruction totalitaire de toute une population. Rudolf Höss, le dénonce de même dans son témoignage mais pour sa part il le dit sans prendre la moindre précaution : selon le commandant d’Auschwitz dans l’idéologie de cette démarche s’auto-justifie dans la continuité de son témoignage que « le peuple slave eu bien servi à la nation en bien des domaines … et son devenu un élément de « lutte préventive ». C’était selon cette démarche que nous explique Heydrich : le plan A était « l’exclusion des juifs dans des sphères d’existence

...