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Seoul, Ville Mondiale

Mémoire : Seoul, Ville Mondiale. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  29 Décembre 2014  •  523 Mots (3 Pages)  •  963 Vues

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Deuxième ville au monde par la population avec 23 millions d'habitants, à peu près à égalité avec Mexico et loin derrière Tôkyô (35 millions d’habitants), Séoul est la capitale de la Corée du Sud. Toutefois depuis le 1er juillet 2012 la nouvelle capitale administrative de la Corée du sud est la ville nouvelle de Sejong (Sejong City, 세종/世宗), située sur les rives du Geumgang au centre de la Corée du Sud à quelques kilomètres au nord de Daejeon. Le projet a été lancé par le président Roh Moo-hyun, dans le but de créer une nouvelle capitale administrative. Il a pour objectif de réduire le déséquilibre entre la mégapole de Séoul et la province au sud. L'inauguration de la ville a eu lieu le 1er juillet 2012. À partir de 2014, Sejong comptera 16 ministères et 20 agences publiques. Son territoire est essentiellement formé par l'ancien district de Yeongi. Elle est nommée en l'honneur du roi Sejong le Grand, le père de l'alphabet coréen, le hangeul. La géomancie est une technique de divination fondée sur l'analyse de figures composées par la combinaison de quatre points simples ou doubles (ou points et traits). Ces points sont obtenus par l'observation de cailloux ou d'objets jetés sur une surface plane ou posés dans un espace donné, par des lancers de dés1, par le comptage de traits dessinés dans le sable avec un bâton ou sur du papier à l'aide d'un stylo2 ou encore par l'observation d'éléments disposés dans la nature sans intervention humaine.

Les oracles géomantiques sont basés sur une série de figures, chacune composée de quatre lignes de points, pairs ou impairs. Par différentes combinaisons simples, les tirages des figures sont développés pour former un diagramme ou graphe destiné à l'interprétation : un écu ou thème (terme emprunté à l'astrologie) géomantique, ou encore un carré. Les significations propres aux figures géomantiques, leurs positions dans le graphe obtenu et les relations à l'intérieur du graphe des figures (répétitions, oppositions, passations, etc.) entrent en compte dans l'interprétation.

Note : des missionnaires chrétiens parcourant la Chine au XIXe siècle ont indûment traduit la notion de feng shui, pan important de la pensée chinoise, en « géomancie », « traduction » qui a eu cours pendant des décennies, en français et dans d'autres langues occidentales. Mais cette confusion de vocabulaire a quasiment disparu depuis les années 1970, l'appellation originelle de feng shui étant désormais employée de façon quasi-exclusive en Occident, si l'on se réfère aux titres des nombreux ouvrages publiés sur le sujet.

Il en existe plusieurs pratiques africaines, certaines très proches de la pratique d'influence Arabe, mais aussi une expression qui est à l'origine du Vaudou à travers le dieu FA (ou Ifa) dieu de la divination, appelée Ifa. Dans cette version, les seize figures sont considérées par paires, ce qui donne 256 combinaisons. Il semble que plus que de divination, il s'agit d'une système très élaboré de pédagogie supporté par le dieu Fa et quelques autres divinités (Lêgba, Gû, Hêbiesso... moins d'une dizaine)3 à destination de peuples qui n'avaient pas d'écriture et chez qui tout devait reposer sur la mémoire. À noter qu'à ces divinités se superposent

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