LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

L'après deuxième guerre mondiale au japon

Étude de cas : L'après deuxième guerre mondiale au japon. Recherche parmi 302 000+ dissertations

Par   •  9 Septembre 2025  •  Étude de cas  •  695 Mots (3 Pages)  •  153 Vues

Page 1 sur 3

GRAND ORAL HGGSP

source n°1 : L’HISTOIRE N°271, décembre 2002

3 mai 1946-1948, Tribunal militaire international pour l’extrême orient

présidé par William Webb, australien.

Bilan powt WWII pour le japon :

2,7 million de morts, perte de 1/4 de ses richesse, destruction massive de nombreuse ville (Tokyo 65 % par exemple), bombe atomique, 9 million de sans abris, 6 Million de rapatriés (environ 3 million de civils), dirigé en droit par un conseil interalliés, en fait pas le commandant suprême des forces alliés, McArthur.

PÉRIODE D’INTÉRÊTS :  1928-1945

1928= assassinat d’un seigneur de guerre chinois, Chang Tso-lin, prémisse de la mainmise sur la Mandchourie

13 décembre 1937, le massacre de Nankin, 260 000/350 000 morts, 20 000/80 000 viols.

Crimes d’agression à Pearl Harbor, Malaisie (contre ROYAUME UNI)

MAIS + IMPORTANT : maltraitance des prisonnier de guerre,

cela s’explique par : japon non signataire de la convention de genève, armée avec une discipline très rude, enseignement de la haine des chinois dès l’enfance, interdiction de se rendre, honneur dans la mort :  culture de la violence banalisée.

Crimes notoires : massacre sur des population civils, utilisation d’armes chimique et bactériologique, esclavages des population d’Asie, esclavage sexuelle, mauvais traitement de prisonniers.

Suite à cela, création d’une commission pour regrouper des preuves des exactions de l’axe :

7 octobre 1942:à Londres, comité des nations unis sur les crimes de guerres

10 octobre 1943 : la commission des nations unies sur les crimes de guerre.

1er novembre 1943 : signature de Roosevelt, Churchill et Staline, déclaration de Moscou sur les actes inhumains.

Cette déclaration explicite 2 cas de figure :  

a) juger les criminels de guerre locaux via la juridiction du pays concerné

b) Nuremberg et les tribunaux internationaux

critère spatiaux et non sur la gravité des crimes

(le japon n’est pas en premier lieu visé)

légitimation en chaîne :  déclara° de Moscou→ Nuremberg→ Tokyo (par jurisprudence)

10 mai 1944 : première étape du jugement via la demande de la Chine (entre autre) de crée la Commission restreinte pour l’extrême orient dans le but de regrouper des témoignages, des preuves, lister les accusés, les problème juridique possible...

26 juillet 1945 : conférence de Potsdam qui enjoint le Japon à se rendre, précision d’une justice sévère vis à vis des criminels de guerres

14 août 1945 : le Japon accepte  (base juridique du procès)

8 août 1945 : signature des alliés des accords de Londres aux sujets des crimes d’agression  et crimes contre l’humanité.

19 janvier 1946 : création par MCArthur de la charte du TMIEO.

 Différence de chefs accusa°/organisation : modifica°  de la defini° des crimes contre l’humanité pour impliquer l’extermination des combattants aussi, plus obliger de donner un avocat aux accusés.

...

Télécharger au format  txt (4.7 Kb)   pdf (114.6 Kb)   docx (9.6 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com