Fiche de lecture de l’article « Et si les "fake news" menaçaient notre démocratie ? »

Fiche de lecture de l’article « Et si les "fake news" menaçaient notre démocratie ? »

Dans l’article « et si les «fakes news » menaçaient notre démocratie? » paru dans Les Échos le 20 déc. 2017 écrit par Emmanuel Bercault consultant en communication Il a notamment travaillé pour le Ministère des Affaires Étrangères, la Commission Européenne. Celui-ci aborde la mise en péril de notre démocratie face aux les fakes news. En partie à cause des fausses informations publiées ,à des buts précis tels que créer des rumeurs ou influencer. Qui peuvent par la suite fragiliser l’avenir des réseaux sociaux.

Dans cette article Emmanuel Bercault évoque la nouvelle Commissaire européenne chargée du numérique qui veut mettre en place un groupe d’expert pour lutter contre la désinformation. Comme les fakes news sur les réseaux sociaux. « il s’agit d’attribuer aux médias sociaux "une obligation de diligence" » pour pouvoir avoir une meilleure information sur les réseaux sociaux. Comme la campagne présidentielle américaine qui c’est tourné vers les réseaux sociaux comme nouvelle source d’information car la presse traditionnelle est jugée comme partielle ou partiale. Mais une enquête est menée par le cevipof en janvier 2017 et montre que 24% avait confiance en les médias contre 76% qui étaient méfiants. Puis il évoque si les médias sont encore légitimes à faire circuler des vrais informations. Une rubrique « fact-cheking » à permis de donner la parole à des citoyens pour faire ressortir l’inexactitude des informations dans les médias et les mensonges dans les discours politiques. Mais selon Laurent bigot il dit que les informations émises par le fact cheking et orientées ou même tronqués. Patrick Michel lui évoque pourquoi les médias ne sont pas des menaces comme les fakes news  "Pourquoi les fabrications des médias traditionnels n’ont-elles pas présenté dans le passé, et ne présentent-elles pas aujourd’hui le même type de menace que les "fake news" dont on s’inquiète tant ?". selon Emanuel Becault dans un contexte de difficulté avec des informations qui ne se rapprochent pas des réalités vécue les gens vont s’informer sur d’autres médias comme les réseaux sociaux. Mais Emanuel Becault se pose la question de si cela amène vers une contre démocratie. Car la diffusion de fausses informations et devenu banal. Par Exemple Twitter (X) avec une certaine propagation des fakes news une rumeur devient "trending topic" et donc vu par tous. Comme par exemple « une prétendue maladie grave dont aurait été victime Hillary Clinton lors de la dernière campagne présidentielle américaine ». Ce qui a discrédité la candidate démocrate. Cette augmentation des fakes news et du à la facilité de poster des informations sur internet. Ce boulversement amene à se poser la question que se pose Emanuel bercault. Pierre Rosanvallon y répond: «  C’est un ensemble de pratiques de surveillance, d’empêchement et de jugement au travers desquelles la société exerce des pouvoirs de correction et de pression ». L’essor du journalisme citoyen pourrait donc créer une contre démocratie. Et pour finir l’article évoque si cela va impacté les médias traditionnels là venue de l’information part

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